ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Deux comoriens ont remporté ces grands prix dédiés aux jeunes africains sur le prix Wentian et le prix Mengtian, mercredi dernier par l’ambassade de Chine à Moroni. Lors de la cérémonie de remise du trophée, Bassam Ben Fatihoudine, un des lauréats a manifesté sa joie d’avoir remporté ce trophée.

Il s’agit d’un moment très important et émouvant dans la vie du lauréat du prix Wentian pour Bassam Ben Fatihoudine. « Ça m’a  donné le sourire et ça m’a donné l’envie de dessiner pour continuer mon rêve », a manifesté Bassam Ben Fatihoudine, quelques instants après la remise du trophée. Ce jeune talentueux comorien s’est réjoui du soutien indéfectible de ses parents, amis et enseignants  qui «l’ont encouragés et qui l’ont donnés les conseils.

Un événement pas comme les autres. Pour ce deuxième prix, près de deux milles tableaux d’artistes sont issus d’une trentaine de jeunes africains. En cette cérémonie de remise, Hu Bing, chargé d’affaires à l’ambassade de Chine se dit très enthousiaste car c’est la première fois que « nous avons vu autant de peintures des jeunes africains exposées sur notre station spatiale », dixit le chargé d’affaires à l’ambassade de Chine à Moroni.

A l’en croire, l’Afrique est l’avenir de l’humanité. « La Chine et les pays africains forment alors une même famille », a-t-il déclaré.

En mémoire, les jeunes africains expriment depuis longtemps leur vif intérêt pour l’espace et leur désir de « voler dans l’espace » un jour. La partie chinoise est disposée à contribuer à la réalisation de ce « rêve africain ».

Depuis le 1er mars, le secrétariat du comité de suivi du forum sur la coopération sino-africaine et le bureau d’ingénierie des vols spatiaux habités de Chine organisent conjointement un concours de peinture sur le thème «mon rêve». Le concours est donc ouvert à plusieurs pays africains y compris les Comores.

Kamal Said Abdou

La troisième édition de l’émission Nyora a regroupé 12 candidats. Après les prestations des chansons en langue locale et étrangère, 6 candidats sont retenus pour la demi-finale après les notes du jury et du public. Il s’agit de Mkalimani avec 8,20/10, de Keila qui a obtenu 7,79/10, de Salam recueillant 7,24/10, de Rebella avec 6,36, de Maïssa et de Rachda qui ont décroché 5,95 et 5,91/10.

Les résultats des candidats admis en demi-finale du concours Nyora de la saison 3 sont déjà connus. Après les prestations publiques, le jury a procédé à la délibération. Six meilleures voix ont été retenues et vont s’affronter en demi-finale.

Mais, avant d’annoncer les résultats, les membres du jury se sont prêtés à la séance fatidique des critiques.

Selon eux, certains candidats méritent leurs chances d’évoluer dans le domaine de la musique vis-à-vis de leurs talents et leurs voix psalmodiques. « Dès la saison N°1 de ce concours Nyora, on constate que le pays possède des jeunes talentueux. Et cette année, les candidats ont montré de la potentialité. Nous avons du talent caché. Le relais est rassuré pour notre génération quant à ces futurs artistes comoriens », a encouragé l’artiste et membre du jury, Soulaimana Mzé Cheikh.

Les notes du jury et du public ont été accumulées pour classifier les 6 premières places des demi-finalistes. Sur 12 candidats au total, le candidat N°3, Mkalimani occupe la première place avec une note générale de 7,20/10 et (+1), la note du gagnant du mrengué. Keila prend la deuxième place avec une note de 6,79 et (+1), la note du gagnant du mrengué. Salam et Rebella occupent, respectivement, la 3e et la 4e place pour les notes de 7,24/10 et 5,36/10 et (+1), gagnant du mrengué. Quant à Maïssa et Rachda, elles sont classées 5e et 6e avec des notes générales de 4,94/10 et (+1), note du mrengué et 4,91/10 et (+1), note du mrengué. 

Abdoulandhum Ahamada

Le Cndrs organise du 18 au 21 septembre prochain, le premier festival des sciences et des arts aux Comores. Ce festival est avant tout une formidable opportunité de vivre quatre jours d’échanges scientifiques et culturels d’une grande richesse. Ce premier festival aura comme thème « la mer comme avenir de l’océan indien ». 

Si l’existence de ces points communs (sciences et arts), en termes de recherche et de créativité, fait l’objet d’une inspiration riche, chercheurs et artistes ont besoin d’en faire l’expérience avant d’y concéder et d’envisager un projet de co-création.

La dynamique, « sciences et arts » repose sur comment la mer peut servir des ressources potentielles pour un avenir meilleur.  

En effet, l’organisation du festival par le Cndrs en partenariat avec le Pnud, la commission de l’océan indien, l’agence universitaire de la francophonie, l’Union européenne, l’ambassade de France, entre autres, consiste, selon le directeur du Cndrs, à définir « la nature et les enjeux par la mer dans l’Océan indien et renforcer la coopération avec les partenaires régionaux et internationaux pour la conservation du patrimoine et la promotion de la recherche ».

La thématique propose des débats scientifiques, une animation culturelle et une projection de films documentaires et des expositions temporaires des œuvres de jeunes artistes et artisans comoriens. C’est pour l’avenir de la mer de l’océan indien.

Le festival des sciences et des arts est un espace où la pensée se déploie et où les arguments scientifiques s’éprouveront. Cette première édition interrogera sur la recherche et la conservation du patrimoine. 

Nayssate Ahmed Mouigni (stagiaire)

Un groupe d’artistes, de rappeurs, de Dj, lancent du 29 juillet au 23 août, la première édition du Dissa Festival, aux Comores. Devant la presse, mercredi dernier, les organisateurs de ce festival ont annoncé le déroulement des activités par des journées culturelles, des stages artistiques, des formations professionnelles, Open mic, Battle de danses, entre autres. Une manière, selon eux, de promouvoir le développement de la culture et les valeurs artistiques des Comores. 

Du 29 juillet au 23 août prochain, la première édition du Dissa Festival aura lieu à Moroni. Un événement inédit qui regroupe des artistes, des rappeurs, des Dj, des danseurs comoriens afin de promouvoir la culture et l’art comoriens. Les organisateurs de ce festival ont précisé l’importance d’un tel évènement, qui, selon eux, Dissa Festival est une vision pour l’enseignement des jeunes sur les disciplines de la danse, de la musique, du Dj, du rap, hip-hop.

L’idée principale, selon Tatiana Panzani, the Flow Lab, est de partager les valeurs de la musique, de danses, du rap, open mic, entre autres. « En vue de valoriser la culture comorienne et l’art, le Dissa Festival est un projet permettant aux jeunes, de comprendre les valeurs de la musique, de la danse, hip-hop, et autres. La culture est un levier de développement d’un pays. C’est transmettre la passion et partager l’expérience de ces disciplines chez les jeunes », a expliqué Tatiana Panzani.

Et Dj Loutfi Youssouf (DJ Quick) a présenté le programme du déroulement du Dissa Festival. « Au programme de ce festival, on aura des journées culturelles, stages artistiques, formations professionnelles, open mic, Battle de danse, et autres, répartis selon les quatre semaines d’activités. À cette occasion, on va expliquer le métier du Dj, le rôle de la danse, hip-hop,… à travers des ateliers et des formations professionnelles », a-t-dit. 

Abdoulandhum Ahamada

Situé au Nord de Ngazidja dans la région de Mitsamihuli, le village de Batsa Mitsamihuli bat des records nationaux en matière de tourisme. Le village est devenu, le principal choix des jeunes de la diaspora et, après la pandémie, la localité est devenue le village le plus visité aux Comores comme l’indique le rapport de l’association des jeunes artistes des Comores (organisateurs de l’usafari tour), une association spécialisé dans la promotion du tourisme.  

La localité a accueilli deux fois, l’usafari tour, deux fois, le camping Huru, le festival Panga et d’autres événements ainsi que les visites guidées et les touristes indépendants. Les derniers chiffres montrent qu’environ 3500 personnes ont visité le village entre juillet 2021 et juillet 2023.

« La localité cumule les atouts, tant naturels que culturels, susceptibles d’attirer les touristes de tous horizons, de la beauté paradisiaque de ses grottes et de ses cuvettes à la diversité de ses paysages, l’accueil chaleureux de ses habitants, sans oublier un patrimoine historique unique hérité de Korodazi », a expliqué Ela Abdoulkarim Soilihi, président de la plateforme.

Et d’ajouter, « depuis l’accueil incroyable de l’usafari tour 2021, tout le monde souhaite visité le village. C’est pourquoi la plateforme JAC veut  matérialiser cette richesse afin de développer l’économie dans la région. Plusieurs projets sont en gestation avec ses partenaires pour promouvoir le tourisme dans ce village. »

Malgré que jusqu’à aujourd’hui, les jeunes artistes comoriens n’aient pas communiqué une date de l’événement touristique « USAFARI » mais selon eux le projet est en étude.

« C’est un événement qui demande beaucoup d’énergies et du temps, on l’espère d’ici les prochains jours, vous donnez des directives pour l’édition 2023 », a annoncé le président.

Nassuf. M. Abdou

Samedi 1er juillet 2023, marque le lancement officiel de la 7e édition du Gombessa Festival Ikoni. Le but de ce festival est de promouvoir la culture comorienne. Plusieurs activités culturelles de danses et chants folkloriques comoriens ont animé la place « Parendraru » à Ikoni.

La ville d’Ikoni abrite depuis samedi 1er juillet 2023, la 7eedition du Gombessa Festival en présence de plusieurs acteurs de la culture comorienne et de la gouverneure de Ngazidja, Mhoudini Sitti Farouata. Un grand rendez-vous culturel réunissant plusieurs associations culturelles.

Dans son discours, Mohamed Ismaila, porte-parole de Beit-Salam, a rappelé que « chaque comorien doit conserver sa culture et ses patrimoines historiques ». Car selon lui, la culture différencie d’un pays à un autre. « Gombessa Festival veut faire la ville d’Ikoni, capitale culturelle et historique des Comores. Nous devons connaitre notre histoire, nos origines et notre culture.  Nous devons remercier  100 blagues (directeur artistique du Gombessa Festival) qui a initié ce festival à la portée de tous les comoriens. La culture est la base fondamentale d’un pays et chaque pays à sa propre culture », a souligné Mohamed Ismaila.

De même le directeur général de la société Comores Telecom, Saïd Ali Saïd Chayhane (sponsor officiel de cette 7e édition), a exprimé son attachement et son affection à cet événement. Le patron de Comores télécom n’a pas cessé de montrer la nécessité de la « mise en valeur de la culture et à l’histoire d’un pays », notamment les Comores.

« Tous les comoriens ont leurs parts de responsabilités en termes de protection et de valorisation des patrimoines culturels. Il faut oser dire que les Comores ont leur propre histoire et culture. On soutient l’organisation de cet événement du Gombessa Festival. Il faut protéger les traces de nos aïeuls », a-t-il dit.

Abdoulandhum Ahamada

Sabena est un spectacle hybride qui dure 1h00 et qui mélange à la fois la musique, la danse, le slam et l’art visuel, quelque chose de très touchant et très poignant mais à travers une expression artistique. Devant les médias mardi dernier à l’Alliance Française de Moroni, Ahamda Smis, directeur artistique du spectacle Sabena a dit vouloir, à travers cette création, faire un devoir de mémoire pour honorer nos morts.

Dans ce spectacle Sabena, Ahamda revient sur un fait historique qui a eu lieu à Mahajunga à Madagascar en 1976 à travers la musique, le slam et la danse. Le tout dans une expression artistique. « C’est un projet qui me tenait vraiment à cœur. Il s’agit d’un travail de longue haleine que j’ai mis 3 ans à créer et à faire les recherches historiques », a précisé Ahamda Smis.

« J’espère que les comoriens en général, les familles des Sabena et ceux qui ont vécu ce massacre, ceux qui n’ont pas vécu vont se mobiliser pour venir découvrir ce spectacle qui leur est destiné et qui est destiné à honorer nos absents », a-t-il ajouté.

Au menu du spectacle, des ateliers d’écriture mis en musique, ateliers de danse, table ronde et conférence débat. « Pour en faire profiter, le plus grand nombre du public », explique le directeur artistique. C’est une histoire comme tant d’autres. « Si on ne l’écrit pas, d’autres vont l’écrire mais peut-être pas de la bonne manière que nous. Parce que l’histoire, on peut s’en servir différemment et on peut s’en servir de façon pédagogique », indique le directeur artistique du spectacle Sabena. Un événement peu connu par la nouvelle génération et qui par conséquent est enterré par le grand public en raison qu’il s’agit d’un sujet tabou. Mais M. Smis se donne la volonté de se lancer dans l’aventure pour collecter les données sur place à Mahajunga afin de bien comprendre l’histoire, de le relater et d’expliquer cette tragédie sans pointer du doigt à quiconque et sans blesser. Mais juste faire vivre les gens à travers la musique. « C’est une manière de me remédier et d’oublier cette histoire. Ce n’est pas seulement de la danse des muscles mais une sorte de thérapeute », a fait savoir un des conférenciers. 

Kamal Said Abdou

Jorus Mabiala, conteur et écrivain Congolais a rappelé que le feu Salim Hatubou, conteur comorien a fait briller le pays à travers ses œuvres littéraires. Durant un spectacle samedi dernier à l’alliance française de Moroni, l’écrivain Congolais a fait savoir que lorsqu’on s’intéresse à Salim Hatubou, on s’intéresse aux Comores.

Les deux hommes se sont connus au quartier Nord de Marseille, Jorus Mabiala et Salim Hatubou. Très attaché aux contes de Salim Hatubou dont malheureusement, la plus grande majorité des jeunes comoriens méconnaît ses œuvres, Mabiala veut faire de Salim Hatubou, la philosophie au-delà de l’amitié avec lui.

« Ce grand monsieur en parlant de Senghor et les autres, j’aimerais aussi qu’on en parle de Salim », a déclaré Mabiala qui a ajouté que « s’intéresser de l’œuvre de Salim Hatubou, c’est s’intéresser aux Comores ».

A l’en croire, Salim Hatubou fait partie du positif comorien. « La preuve, on parle des jeunes de la littérature à Mayotte, on parle de Salim Hatubou. Les textes les plus lus aux Comores, c’est Salim Hatubou », précise-t-il.

Au-delà des frontières des Comores et de la France, le feu Salim Hatubou a enseigné le shikomori à l’Université de Japon. « Il a enseigné des contes comoriens. Je suis convaincu que peu de jeunes comoriens sont au courant », rappelle-t-il.

Par le travail laissé par Salim Hatubou et qui est malheureusement peu connu par les jeunes, Jorus Mabiala se dit prêt à aider et les transformer en Salim Hatubou. 

Kamal Said Abdou

L’association UJM d’iconi, a dressé son bilan dimanche dernier après avoir pris part à la journée internationale de la francophonie et leur participation au concours Goessa Festival en Tanzanie. Au cours d’une conférence de presse tenue dimanche dernier à Iconi, la présidente de l’UJM a remercié l’apport financier du gouvernement comorien évalué à 4000.000kmf.

De retour aux Comores après leur participation à une double compétition en Tanzanie en septembre 2022 et Mars 2023,  l’association des jeunes culturels, éducatifs et  sportifs d’Iconi a livré son bilan.

Au cours d’une conférence de presse, la présidente de ladite association n’a pas cherché de loin pour remercier l’apport financier du gouvernement pour l’organisation du voyage.

« Si nous avons pu participer au double concours en Tanzanie, c’est grâce au soutien indéfectible du gouvernement comorien qui nous a donné un chèque de 4000.000fc. Cela nous a permis d’assurer tous les charges tout au long de notre séjours à l’étranger », annoncé Foursia Ismail, la présidente de l’association. Et elle de préciser que l’hébergement était pris en charge par l’Etat.

Le secrétaire de l’association, Abdallah Mmadi appelle tous les partenaires de l’association UJM à ne pas blesser les bras quant aux prochaines compétitions nationales et régionales que l’association s’est engagée.

« Nous avons accomplis la mission, mais sachez qu’il y’a en d’autres qui restent et nous devons se préparer à être prêts pour le défendre le drapeau de notre pays », a-t-il lancé.

Pour rappel, l’association des jeunes sportifs et éducatifs d’Iconi a présenté le pays en Tanzanie en septembre 2022 lors du concours régionale des pays de l’Afrique de l’Est. Elle a porté au plus haut le drapeau comorien en portant haut, le titre du concours Gomessa festival. Les jeunes d’Iconi se sont inspirés d’une danse traditionnelle appelée « Shigoma shalnsuri ». Ils ont pris part en mars dernier encore à une compétition en Tanzanie, puis à une autre de la francophonie.

Nassuf. M. Abdou

Le film comorien fait sa révolution. Il explore le thème de la violence sexuelle, de la criminalité, de la vie, de l’esclavage … Pour promouvoir le cinéma comorien, la première édition du festival du cinéma comorien a été lancée. 7 films ont été nominés. Et c’est le film « Dr Ben » qui est élu meilleur film. Un film réalisé par Piccell Studio.

« Mbé Trambwe, Maecha, Fatima, Mbaba, Dr Ben, Iduku et la Chambre », tels ont été les courts métrages sélectionnés pour la première édition du festival du cinéma comorien. Cet événement inédit aux Comores est organisé par l’Ucc en partenariat avec Comores Télécom. 7 films et 4 jurys. « Nous avons discuté sur des critères techniques pour choisir le meilleur film. Dans l’ensemble, je pense qu’il y a un progrès plus technique malgré qu’il y ait des lacunes identifiées au niveau du son, du scénario. Le film est un art littéraire. On écrit tout avant toute chose. Mais c’est encourageant. Nous constatons que les réalisateurs sont dans une dynamique », a expliqué un des membres du jury, Said Hassane Ezidine.

Pour la cinéaste et actrice du film « Dr Ben » lequel a remporté le premier prix, Intissam Dahilou a fait savoir que « le cinéma est un rêve. Une façon pour nous de nous challenger, de nous dépasser. Nous avons choisi un personnage protagoniste et en même temps antagoniste parce que pour nous savons qu’un personnage a des qualités et des défauts. »

Malgré le manque des moyens pour la réalisation du film, l’équipe a réussi à relever le défi et le film est élu meilleur film de cette édition. « Je suis très contente et la joie est immense d’exprimer ma fierté. Dr Ben est élu meilleur film, meilleur scénario et a obtenu le prix de la meilleure actrice. C’est une fierté pour toute l’équipe », a exprimé l’actrice du « Dr Ben ». Une somme de 1 500 000 a été remise.

Ce film met en scène un médecin commettant des erreurs médicales entrainant la mort de ses patients. Le médecin arrive toujours à dissimuler ses erreurs meurtrières jusqu’au jour où son infirmière Oumilher, consciente de ses actes criminels, décide de mener une enquête pour la vérité.

KDBA