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Session parlementaire : La loi de finances 2023 bientôt adoptée

La deuxième session parlementaire ordinaire de l’année 2022 a été ouverte, vendredi dernier. Le président de l’Assemblée nationale, Moustadroine Abdou a rappelé les différentes thématiques à aborder, lors de ces trois prochains mois de la fin de 2022. Il s’agit, entre autres, de l’examen pour l’adoption du projet de loi de finances préparé par le gouvernement pour l’année à venir, la mise en œuvre des recommandations du dialogue national inter comorien du mois de février dernier.

Vendredi dernier, le parlement comorien a ouvert sa deuxième session ordinaire de l’année 2022. Lors de son allocution, le président de l’Assemblée nationale, Moustadroine Abdou a souligné que cette dernière session ordinaire de l’année ou « la session budgétaire », les thématiques à aborder ne sont que l’examen pour l’adoption du projet de loi de finances pour 2023 et d’autres projets de textes, notamment les recommandations du dialogue national du mois de février dernier. « Cette dernière session ordinaire, son ordre du jour porte en priorité, sur l’examen pour adoption du projet de loi de finances préparé par le gouvernement pour l’année à venir. Mais, il faudrait aussi s’attendre à travailler sur d’autres projets de textes, parmi lesquels ceux qui sont destinés à mettre en œuvre les recommandations du dialogue national inter comorien du mois de février dernier », a déclaré le président de l’Assemblée nationale.

Ce dernier ne se fixe pas seulement sur les thématiques à aborder, mais il a parlé aussi de la crise économique et alimentaire que traverse le pays, actuellement. « Cette crise si éprouvante a anéanti les efforts engagés auparavant pour promouvoir le développement économique et social de notre pays. Mais, elle ne doit pas entamer la détermination de notre pays et de son peuple à aller de l’avant. Certes, les problèmes ne sont pas encore résolus d’une manière pérenne. Il y a encore la question du pouvoir d’achat qui reste encore préoccupante du fait de la pression de l’inflation », a-t-il souligné. 

Abdoulandhum Ahamada

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