Hier lundi, un atelier d’échanges est organisé par le commissariat général au plan en partenariat avec l’UNFPA pour proposer des solutions d’améliorer les responsables de la population et du développement de notre pays. Ces solutions seront intégrées dans le rapport national attendu à l’Union africaine en fin juillet 2023.

Les ministères, départements et agences responsables de la population et du développement du pays se sont réunis pour l’évaluation des programmes de coopération entre l’Union des Comores et l’UNFPA. Alors que l’Union des Comores et l’UNFPA ont 15 engagements pour assurer la paix et la sécurité de la population et le développement du pays. Parmi les 15 engagements qu’ils ont proposé, c’est mettre à termes les mariages précoces et de cesser les crises humanitaires : « mettre fin au mariage des enfants ».

Selon le représentant de l’UNFPA aux Comores, Mamadou Boina Maecha, chaque pays africain doit évaluer des programmes avec l’UNFPA pour trouver des solutions des responsables de la population et du développement pour qu’on puisse les intégrer dans le rapport national attendu à l’union africaine en fin juillet 2023.

« Nous collaborons avec les ministres, département et agences de la population et du développent de chaque pays pour trouver des moyens de la protection de la population et du développement du pays afin de les intégrer dans le rapport national attendu à l’union africaine en juillet 2023 », explique l’assistant représentant UNFPA, Mamadou Boina Maecha.

Cet atelier permet d’évaluer la mise en œuvre du programme de la conférence internationale de la population et du développement (CIPD), trente ans après sa mise en œuvre et en même temps la déclaration d’Addis-Abeba, dix ans après.

Nayssate Ahmed Mouigni (stagiaire)