ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Économie numérique : Le digital accélère la croissance économique

La chambre de commerce, de l’industrie et de l’artisanat (CCIA Ngazidja) en collaboration avec l’Uccia et l’Actic a, hier mercredi, lancé la deuxième édition du salon de l’économie numérique, à Moroni. 3 jours d’ateliers, de conférence-débats et de présentation de stands pour que le numérique reste un levier du développement du pays.

Plusieurs autorités  et hautes personnalités politiques, du secteur du public et privé ont participé, hier, au lancement de la deuxième édition du salon de l’économie numérique. Il s’agit de 3 jours de présentation des thématiques liées à l’éducation, à l’énergie, au numérique, entre autres, des conférence-débats. Le président de l’Actic et directeur régional de la Ccia Ngazidja, Hamidou Mhoma est convaincu que le numérique peut apporter une solution face aux problèmes qui secouent le pays. 

« Si l’Actic est associée à cet évènement c’est parce qu’elle est convaincue que le numérique peut apporter de l’espoir. Le numérique est à même d’apporter des solutions à certains de nos problèmes. Au plus de la pandémie, nous avons observé le rôle joué par le numérique pour préserver nos liens. Tout le monde reconnait que le numérique est un facteur de relance économique, un accélérateur de croissance, un moteur de changements. Comment y parvenir ? Ce salon est une opportunité pour apporter des réponses à nos interrogations. Les thématiques nous montrerons à coup sûr le chemin à emprunter pour faire du numérique un levier du développement économique », a déclaré le président de l’Actic.

À son tour, le secrétaire général de l’Uccia, Djamil Boinali qui a représenté le président de l’Uccia a précisé l’importance du numérique dans le pays. Selon lui, le numérique est un outil qui facilite tous. « Ces technologies accroissent la productivité, raccourcissent la distance et le temps, réduisent les coûts, améliorent la bonne gouvernance et surtout facilitent la vie des citoyens. Il revient dès lors à nos pays en voie de développement de se préparer à faire le meilleur usage de celui-ci », a-t-il dit.

Abdoulandhum Ahamada

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