ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Projet d’accès à l’énergie solaire : Le projet compte augmenter la capacité de production d’énergie renouvelable

La 3eme réunion du comité de pilotage du projet accès à l’énergie solaire a été tenue hier au Retaj. Saïd Mohamed  Nassur, secrétaire général  adjoint au ministre  de l’énergie a rappelé que ce projet vise à augmenter la capacité de production d’énergie renouvelable à travers la mise en place d’infrastructure photovoltaïque dans les îles et améliorer la performance opérationnelle de la Sonelec avec le renouvellement du parc électrique des compteurs.

Le projet accès à l’énergie solaire est doté d’une enveloppe de 43 millions de dollars pour une durée de 5 ans. L’objectif est d’augmenter la capacité de production d’énergie renouvelable à travers la mise en place d’infrastructure photovoltaïque dans les îles et améliorer la performance opérationnelle de la Sonelec avec le renouvellement du parc électrique des compteurs.

Trois centrales photovoltaïques devront être mises en place dans les trois îles, selon Said Mohamed Nassur, secrétaire général adjoint au ministère de l’énergie. Entrée dans sa deuxième année, le secrétaire général adjoint a indiqué que plusieurs activités sont réalisées et d’autres sont en cours de réalisation citant entre autres, le plan de développement de l’électricité au moindre coût et la future acquisition des compteurs dont la livraison est attendue ce mois d’aout.

« Cette réunion est de taille car elle constitue une étape décisive de ce vaste chantier tant attendu par la population comorienne, les partenaires et le gouvernement de l’Union des Comores », a déclaré le secrétaire général adjoint qui précisera que cet atelier consiste à mesurer les progrès enregistrés au premier semestre de l’année 2024 et réajuster le plan de travail et budget annuel (PTBA) pour l’année 2024.

« Cette dynamique de mise en œuvre, au premier semestre de 2024, a mis en exergue la nécessité de réajuster le PTBA en cours par rapport à certaines activités dont la pertinence ou la responsabilité de mise en œuvre a été estompée ou modifiée, réaffecter des ressources à d’autres activités et adopter des documents stratégiques communs », a-t-il conclu.

A en croire le secrétaire général  adjoint, le deuxième semestre de l’année 2024 sera une année de mise en œuvre des activités phares du projet pour toutes les composantes.

Kamal Said Abdou

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