L’esprit « égoïste et partisan » anime l’Union des Mecks qui œuvre pour tirer la Meck Moroni vers le bas. Abbas Mohamed El-Had, membre du conseil d’administration de la Meck Moroni exhorte les responsables de la Meck Moroni de se détacher de l’Union des Mecks. Selon lui, ce réseau a une capacité de nuisance, de manipulation et d’instrumentation.
Un bras de fer ou un malentendu ? L’Union des Mecks est aminée par certains responsables de mauvaise foi, selon Abbas Mohamed El-Had, membre du conseil d’administration de la Meck Moroni. « L’Union des Mecks œuvre pour tirer la Meck-Moroni vers le bas pour des considérations égoïstes et partisanes. La Meck-Moroni verse à hauteur de 54/100 pour le fonctionnement l’administration de l’Union des Mecks sans aucune contrepartie ni assistance exceptée le SIG », explique Abbas Mohamed El-Had, membre du conseil d’administration de Meck Moroni.
Ce haut cadre de la Meck Moroni souligne qu’il est temps que cette dernière demande son agrément pour mettre en œuvre ses rénovations pour lutter contre la pauvreté. Afin que la Meck Moroni ne soit pas définitivement « mise à plat » par les manœuvres conduites par les responsables de l’Union des Meck, Abbas Mohamed El-Had propose une solution. « La prochaine assemblée générale de la Meck-Moroni doit prendre pleinement ses responsabilités de se détacher de l’Union des Mecks », préconise-t-il. La raison est simple selon Abbas Mohamed El-Had. « Ce réseau a une capacité de nuisance, de manipulation et d’instrumentalisation. Toutes les initiatives de réformes, d’innovations et d’allègement en faveur de ses membres sont bloqués par la faîtière, à titre d’illustration, la mise en place des GAB et la réforme du prêt gage » explique-t-il. « Il est temps d’engager un combat sans merci contre ceux qui maintiennent la pauvreté au profit de leurs intérêts personnels », tacle-t-il.
À entendre le membre du conseil d’administration, le salut de la Meck-Moroni est d’obtenir l’agrément auprès du régulateur. Les autorités compétentes doivent prendre les mesures adéquates pour protéger les plus démunis.
Kamal Saïd Abdou