50% pour la direction générale des douanes, 50% pour l’administration générale des impôts et des domaines, 54 % pour le trésor public et 33% pour les sociétés d’Etat, pour l’ensemble des objectifs annuels atteints pour les deux premiers trimestres de 2021. C’est ce qu’a annoncé le ministre des finances Said Ali Said Chayhane lors d’un séminaire d’analyse et évaluation de l’exercice budgétaire 2021.

C’est un élan pour la croissance économique du pays qui se profile à travers les services de l’exercice financier de l’Etat. Au terme des deux premiers trimestres de l’année 2021, les objectifs globaux annuels sont atteints à 52% par rapport à la loi des finances 2021. « La profondeur des analyses et la qualité des réactions de l’assistance confirme le respect. Nous avons été tenus par rapport à la loi des finances le résultat globale dépasse les 50% pour se situer à 52% des objectifs annuels. Il s’agit d’un motif de satisfaction au regard des tableaux dans lesquels pas mal d’analyses ont été menées par le monde de la finance qui prenaient en compte certes le climat hostile de la crise sanitaire sans précédent », a expliqué le ministre des finances et du budget. « Des marges importantes sont à notre porté, les tableaux des reformes de différentes administrations doivent nous permettre de nous surpasser et de réaliser pleinement les projections internes qui sont estimées à 63 milliards l’année », a avancé l’argentier du pays, Said Ali Said Chayhane.
Le ministre des finances s’est réjoui, et s’est dit confiant quant à l’apport considérable des services financiers contribuant aux caisses de l’Etat pour la période de six mois. La direction générale des douanes a réalisé 50% des objectifs globaux, le trésor public a atteint lui seul 54% des objectifs, pour l’AGID 50% des objectifs et enfin pour les sociétés d’Etat ont réalisé 33,35% des objectifs. « L’administration générale des impôts et des domaines (AGID) a atteint le seuil de 1 milliard de francs comoriens le mois de juin dernier », a précisé le ministre des finances.
Nassuf. M. Abdou