ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

La Meck-Moroni tente de rassurer ses membres sur le scandale Nazra Said Hassan, cerveau présumé d’une escroquerie de type Ponzi. D’après un communiqué de cette structure de micro-finance dont la jeune femme était membre du conseil d’administration, l’opération Ponzi n’a pas touché leurs caisses, leurs comptes ni leurs opérations financières.

Des hautes personnalités politiques du pays, des commerçants, des receveurs des sociétés d’État, des agents comptables et des institutions financières sont tous impliqués dans la grande opération d’escroquerie financière que le pays n’a jamais connue.
La révélation de ce scandale financier du siècle a provoqué un séisme dans le pays, notamment dans le milieu financier et bancaire du pays. A la Meck-Moroni, la directrice générale Laila Said Hassani a été forcée au repos, le temps que l’enquête interne diligentée puisse établir sur l’implication ou non de l’institution dans cette affaire.

Dans un communiqué publié mardi dernier, cette institution a rassuré que cette affaire n’a pas touché les caisses, les comptes ou les opérations financières de l’institution. Contrairement à ce qui pollue partout, la Meck-Moroni a tenu à préciser que Nazra n’avait pas accès aux opérations de la mutuelle.

« La Meck-Moroni assure les membres et les clients de la mutuelle que ce scandale financier n’a touché aucunement nos caisses, nos comptes ou nos opérations financières. Fidèle à sa tradition basée sur la confiance  et la transparence, la Meck-Moroni a tout de suite, déclenché un contrôle interne afin de vérifier la régularité des mouvements financiers de l’institution et les premières conclusions ne précisent aucune irrégularité dans les comptes », insiste le communiqué rappelant la volonté de la Meck-Moroni de coopérer pour contribuer à la manifestation de la vérité et continuer à œuvrer pour rassurer ses membres et clients avec un climat de transparence et de confiance.

Abdoulandhum Ahamada 

Le centre de formations professionnelles de Djomani Mboudé a une capacité d’accueil très réduite malgré la forte demande d’inscription des jeunes dans cet établissement professionnel. Abdou Ben zoubeir, directeur général de cette école professionnelle estime qu’il est temps de penser à élargir les capacités d’accueil pour pouvoir répondre aux besoins.

Clé de réussite pour les jeunes, la formation professionnelle est importante pour la professionnalisation de la main-d’œuvre d’un pays. Ces écoles sont souvent considérées comme une seconde chance pour ceux qui ont été rejetés par le système. Construit par le Qatar, le centre de formation de Djomani Mboudé devient rapidement attractif pour des nombreux élèves apprenants. « Il y a une urgence à lancer des réflexions sur comment augmenter la capacité d’accueil de l’établissement pour suivre la tendance à la hausse des inscriptions alors que notre capacité d’accueil a déjà atteint ses limites. Je pense qu’il est temps d’élargir nos espaces d’accueil pour donner plus de chances à tous les jeunes passionnés dans les domaines de formations techniques », insiste Abdou Ben Zoubeir, directeur général du centre de formation de Djomaoni.

« Nous avons une promotion de 140 élèves apprentis engagés dans différents domaines. On les voit se serrer entre eux, surtout dans heures des pratiques en salle des machines », a-t-il ajouté.

Mohamed Moussa Said fraîchement diplômé en maçonnerie, se dit satisfait de son choix et se dit prêt à accompagner d’autres jeunes comme lui.  Ce jeune de 20 ans est devenu chef de projet de construction de trois bâtiments après un an de formation sur la maçonnerie.

« Les besoins de formation, d’accompagnement et de certification sont réels pour les jeunes comme moi, notamment dans les métiers de l’artisanat et de la maçonnerie. Aujourd’hui, je suis fier de moi-même, je compte un jour créer ma propre société avec des jeunes apprentis », conclut-il. 

Nassuf.M.Abdou

60 personnes démunies dont 30 à Ngazidja, 20 Anjouan et 10 à Mohéli ont bénéficié chacune une enveloppe d’argent de l’agence Dar Zakat. Au cours de cette cérémonie de remise hier au siège de l’agence, Ali Mdohoma, le directeur général a rappelé la nécessité d’accompagner les personnes en situation d’handicape surtout en ce mois de Ramadan. Selon lui, c’est une obligation pour chaque musulman ayant les moyens.

Visage souriant, les personnes en situation d’handicap ont reçu chacune une enveloppe. Il s’agit d’une initiative de l’agence Dar Zakat d’accompagner les personnes démunies en ce mois de Ramadan. Au total 60 personnes dans l’ensemble du territoire national. Ali Mdohoma, directeur général de l’agence Dar zakat a rappelé les missions de son agence notamment, accompagner les personnes démunies ou en situation d’handicape. Aussi le directeur général a ajouté dans la liste des aides régulièrement versés aux personnes démunies, la fourniture annuelle des kits scolaires aux enfants démunies.

Pour le directeur général du Dar Zakat, celui-ci est le 3ème pilier de l’Islam. « Il est conseillé pour chaque musulman ayant les moyens d’accomplir cette obligation. Ces personnes que nous venons de remettre ces enveloppes sont des êtres humains qui sont dans un état de nécessité », rappelle-t-il.

Comme l’enseignement coranique est aussi important aux Comores, le directeur général du Dar Zakat a émis le souhait d’accompagner les enseignants qui assurent les cours de ces enfants. D’après toujours le directeur général de l’agence, la situation des personnes démunies préoccupe le chef de l’Etat.

« Le chef de l’État accorde une importance particulière aux personnes démunies. Il est un devoir pour chacun d’accompagner ces personnes », a déclaré Abdillah Yahaya, conseiller des affaires religieuses auprès du chef de l’Etat. A l’entendre, l’aumône nettoie le corps et renforce la foi. Raison pour laquelle, le prophète a conseillé aux musulmans qui ont les moyens d’accomplir cette obligation. 

Kamal Said Abdou

Le secrétaire général de confédération des travailleurs comoriens, Salim Soulaimana est contre toute idée de négociation avec la France sur cette opération. Dans entretien accordé hier, il condamne l’opération, dénonçant dans la foulée l’occupation illégale de Mayotte par la France.

L’opération Wuambushu visant à expulser les comoriens à Mayotte semble ne cesse de faire réagir. Après, le communiqué de presse publié par le gouvernement comorien et qui est jugé léger par rapport à l’ampleur de la situation, les réactions fusent de partout. Parmi lesquelles, celle du secrétaire général de la CTC Salim Soulaimana selon qui le gouvernement comorien n’a pas à rentrer dans une logique de dialogue avec la France sur cette opération.

Selon lui, l’occupation de l’île de Mayotte par la France est « illégale. Elle est en contradiction des résolutions des Nations-Unies. Les Comores ont toujours la légitimité d’administrer Mayotte puisqu’elle fait partie intégrante des îles Comores », a précisé le secrétaire  général  du CTC.

A l’en croire, depuis les résolutions des Nations-Unies, les dirigeants comoriens annoncent qu’ils sont en négociations avec la France. Or, chaque expulsion des comoriens à Mayotte, il y a d’après ses propres mots, la complicité des autorités comoriennes. « Donc, pas de négociations avec la France vis-à-vis de cette affaire », ajoute-t-il.

« Si le gouvernement est lâche, on doit se révolter par la force car nous voulons défendre l’intégrité de notre territoire. C’est une guerre déclenchée à Mayotte qu’elle aura des conséquences ici».

Et Salim Soulaimana de revenir sur l’histoire de quatre îles de l’archipel des Comores avant de rappeler aux députés Maoré que Mayotte est comorienne et le restera à jamais. Selon lui, Il nous faut un ministère spécifique qui s’occupera de la question de Mayotte car les accords de Paris de 1973 stipulent que Mayotte doit être réintégrée dans le territoire comorien.

Abdoulandhum Ahamada

Hier lundi 10 avril, l’ancien préfet de Oichili Dimani Ismail Mmadi alias Obama a cédé son poste de préfet à Bacar Mohamed. Ceci intervient après un arrêté du ministre de l’intérieur du 29 mars dernier, portant nomination de Bacar Mohamed, nouveau préfet d’Oichili. Lors de la cérémonie d’investiture, le préfet sortant appelle les forces vives de soutenir son successeur pour ses tâches.

Bacar Mohamed est désormais le nouveau préfet d’Oichi, selon un arrêté du ministre de l’intérieur Fakridine Mahamoudou. Lors de la cérémonie d’investiture, le préfet sortant Ismail Mmadi appelle la population régionale à s’impliquer dans les responsabilités de la région. « La responsabilité de chacun est engagée dans la réussite de la réforme du plan d’action de mon successeur. Chacun de nous sera jugé par ses actes et par ses résultats. Je vous laisse me juger, me faire mon bilan. J’estime avoir pu relever certains défis malgré d’autres qui attendent mon successeur », a-t-il déclaré.

Conscient de la lourde fonction, le nouveau préfet demande l’accompagnement de toutes les forces vives de la région.  « Le chemin que nous allons parcourir ensemble avec toutes les parties prenantes au bénéfice de tous, ne sera pas facile. Mais ensemble commun qui guidera nos actions nous allons atteindre nos objectifs qui n’est autre qu’un un développement accéléré dans cette région », souligne le nouveau préfet de Oichili.

Ajoutant que « je suis aujourd’hui animé d’un profond sentiment d’humilité face à la lourde responsabilité que le ministre de l’intérieur m’a fait l’honneur de me confier ». Au cours de son discours, le nouveau préfet a fait savoir qu’il est nécessaire de mettre en  place une politique  de paix qui est le point d’encrage devant faciliter le développement de l’économie et  l’éducation.

Après quatre ans à la tête de l’administration préfectorale d’Oichili, l’homme de confiance de l’ancien ministre de l’intérieur, Mohamed Daoudou, Ismail Mmmadi alias Obama   a fait appelle toutes les couches sociales de la région à soutenir son successeur dans ses fonctions pour le bien de la région. 

  Nassuf.M.Abdou    

 

 

 

Le parti Juwa, principal parti de l’opposition a organisé la semaine dernière à Moroni Iroungoudjani une prière collective en faveur des détenus politiques en l’occurrence l’ancien président Sambi, président d’honneur. Selon Dr Chakour, un des membres de cette formation politique, l’objectif est d’implorer le seigneur en ce mois béni pour que le président d’honneur du parti Juwa soit libre.

Ils étaient nombreux au foyer Iroungoudjani à venir témoigner leur sympathie à l’ancien président Sambi.  Ils étaient nombreux à venir réclamer la libération de tous les détenus politiques en l’occurrence l’ancien président Sambi, qui est condamné à la perpétuité dans le cadre de l’affaire dite « citoyenneté économique ». Dans leurs pancartes, on peut lire « libérer Sambi et Salami ». Considérés comme morts, les militants ont tenu à travers cette rupture de jeûne montré le contraire à l’image du Dr Chakour, un des membres de cette formation politique de l’opposition qui assure que le parti est bien vivant et est en activité.

« C’est comme ça un parti politique. Nous ne sommes pas au repos, nous sommes en activité », indique-t-il. Ce leader du parti Juwa a fait savoir que l’objectif de la prière collective est pour implorer le seigneur en ce mois béni pour que tous les détenus politiques soient libres en particulier l’ancien président Sambi. Ce dernier, selon Dr Chakour, est condamné gratuitement. Ce qui laisse entendre que son dossier est vide.

Pour Maman Zaharia, militante du parti Juwa, la condamnation de l’ancien président Sambi est un règlement de compte, une honte. « Il n’a rien fait du mal à ce pays. Contrairement à ceux qui nous gouvernent aujourd’hui. Alors la prière d’aujourd’hui est pour demander à Dieu à ce que notre seigneur protège notre président d’honneur contre les mauvais esprits et la garder en vie encore longtemps », déclare-t-elle. Selon la militante, le régime veut enterrer le parti Juwa et il a échoué. « Nous allons continuer nos prières pour que Dieu protège encore le parti Juwa et ses militants contre les mauvais manœuvre de ce régime contre nous », conclut-elle. 

Kamal Said Abdou

Les évasions fréquentes des détenus dans les maisons d’arrêt du pays défrayent les chroniques. La maison d’arrêt de koki Anjouan a connu une énième évasion. 29 détenus ont pris la poudre d’escampette, selon le ministre de la justice. Ce dernier a confirmé que 2 détenus ont été appréhendés par les forces de l’ordre.

C’est la deuxième fois en moins de 2 ans que ce centre pénitentiaire d’Anjouan fait face à une telle opération d’évasion massive. Ce qui laisse entendre que les dispositions sécuritaires dans l’ensemble des maisons d’arrêt du pays sont faibles. Les évasions massives sont fréquentes mais leurs causes demeurant inconnues au moment où les responsables pénitentiaires nient l’idée des failles dans les dispositifs sécuritaires des maisons d’arrêt du pays.

Sur 130 détenus à Koki, 29 détenus sont évadés dimanche dernier dont 2 sont déjà aux mains des forces de l’ordre. Une information confirmée par le ministre de la justice. « L’enquête est ouverte et les forces d’intervention sont à pieds d’œuvre pour appréhender les autres détenus », a-t-il rassuré.

Sur la catégorie des détenus évadés, le ministre de la justice a rassuré qu’aucun criminel n’est échappé. «  A peu près 8 à 9 détenus sont de la catégorie agression sexuelle et les autres sont dans la catégorie vol », détaille-t-il.

Toutefois, le garde des sceaux a fait savoir qu’un bâtiment flambant neuf sera aménagé à koki afin de désengorger cette prison. Selon les informations, des détenus seraient blessés par balle lors de l’invasion.

De son côté, le ministre de la justice n’a pas infirmé ni confirmé cette information faisant savoir que c’est au procureur de la République de répondre à cette question.

Kamal Said Abdou

La banque islamique à travers l’ambassade d’Arabie Saoudite en Union Des Comores, a  remis, samedi dernier au Retaj 2000 moutons, selon Mahamoud Chakir directeur de département arabe du ministère des finances. Ce projet s’inscrit dans le cadre des priorités de la banque islamique de soutenir les populations les plus démunies dans  54 pays dont les Comores.

« Il s’agit d’un projet qui nécessite la mobilisation des fonds colossales. Avant c’étaient des petits cartons de 8kg de viande, cette année chacune d’elle contient 40kg,  donc tout le monde  peut deviner le complexe du processus du chargement et du déchargement depuis l’Arabie Saoudite jusqu’aux 54 pays bénéficiaire  », laisse entendre  Mahamoud Chakir directeur du département  arabe au ministère des finances.

Selon lui, l’Union des Comores a reçus cette année 2000 moutons. « C’est plutôt moins par rapport aux années précédente, mais cela est dû sans doute à la crise sanitaire qui a tout changé les habitudes du monde entier »,a-t-il mentionné. Le représentant du ministère des finances a fait savoir que l’opération du chargement du conteneur depuis l’Arabie saoudite jusqu’au port de Moroni a couté plus de 25millions.

Madjid Ibne Mohamed Nammar, membre de la banque islamique a mentionné que le don est spécialement dédié aux handicapés, les associations qui luttent pour les personnes démunies.  « La rééducation de la pauvreté est le plus grand défi auquel l’humanité est confronté de nos jours. L’engagement idéologique à réduire ou à éradiquer ce fléau devrait faire partie de  la responsabilité morale et sociale des valeurs humaines qui ont forgé  nos institutions financières. Voilà pourquoi  nous  sommes réunis,  ici pour cette cause qui est de la vie quotidienne des personnes qui ont  dans le besoin », conclut Madjid Mohamed Ibn Ammar.

Nassuf.M.Abdou

Wuambushu, une opération visant à la destruction des abris et à l’expulsion des comoriens à Mayotte commence à faire du bruit à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Des médias étrangers commencent à en parler.

Aux Comores les voix se lèvent contre cette opération en affirmant la souveraineté des Comores sur les quatre îles. D’ailleurs, c’est la thèse soutenue par Houmedi Msadié, porte-parole du gouvernement comorien lors d’un entretien jeudi dernier avec la presse.

L’opération Wuambushu prévue pour le 20 avril prochain à Mayotte touchera un grand nombre des familles comoriennes. Une opération qui vise à détruire les habitations dans les bidons villes suivie par l’expulsion massive notamment les délinquants notoires.

Cette opération jugée « génocidaire » par la société civile comorienne est intervenue dans un contexte où cette île est confrontée à une recrudescence des actes criminels et de délinquance. Les critiques qui en suivent les déclarations des autorités françaises sur cette question ne manque pas au niveau international et national.

Très critiqué par son silence, cette fois ci le gouvernement comorien commence à sortir son mutisme. Houmedi Msaidie, porte-parole du gouvernement a tout d’abord rappelé que Mayotte est comorienne. « Les comoriens qu’ils ont une nationalité française ou comorienne, résidants dans cette île sont chez eux », insiste-t-il. Mais de son côté, la France est très déterminée à mener cette opération en foulant encore pour la énième fois la résolution de l’Onu de 1976 sur l’ile comorienne de Mayotte.

« Si une telle opération vient d’être lancée, pensez-vous que le gouvernement comorien restera muet », lance le porte-parole du gouvernement selon qui, ce qui se passe à Mayotte préoccupe le gouvernement comorien.

Kamal Said Abdou

Lors d’une conférence de presse tenue, le 06 avril dernier, l’agence nationale du Hedj et Umra a rendu public le package du hedj, les dates du départ et arrivée des pèlerins comoriens sont connues.

3.240.000 kmf est le package pour le Hedj de cette année. Selon le directeur général de l’agence nationale du Hedj, ce montant tient compte des nouveaux tarifs fixé par le Royaume.

Désormais, les dates du départ et d’arrivée des pèlerins comoriens sont désormais connues. En conférence de presse, vendredi dernier, l’agence nationale du Hedj et Oumra (Anho) a rendu public toutes les phases préliminaires et le montant fixé pour les pèlerins.

« Tout candidat comorien au pèlerinage doit mobiliser un montant de 3.240.000 fc, soit une hausse de 8% par rapport à l’année dernière. Certes, les billets sont multipliés par deux ou trois, sans réduction. À cause de l’inflation, les prix sont doublés », a précisé le directeur général de l’agence nationale du Hedj.

A l’en croire, les dépenses de l’hôtel, l’année dernière, revenaient à 3.500 Riyal. “Cette année, le montant va doubler et les taxes sont élevées à 15% à Medine », a-t-il poursuivi.

En ce qui concerne les dates du départ et d’arrivée, le directeur général de l’agence a précisé que les voyages s’effectueront du 11 au 13 juin prochain et le retour est fixé au 13 juillet.

« Le quota de cette année est de 850 pèlerins comme les années précédentes. Les départs sont fixés du 11 au 13 juin avec un premier groupe de 670 pèlerins. Le second portera 530 pèlerins. Et leur retour est fixé au 13 juillet prochain, à travers la compagne saoudienne Flynas », mentionne-t-il.

Quant à la date limite d’inscription, le directeur  général de l’agence a rappelé que les inscriptions sont fixées au 30 avril prochain.

Abdoulandhum Ahamada