Dans le cadre de l’Expo Dubaï 2020, un secrétariat technique permanent (STP) travaille d’arrache-pied pour répondre aux exigences liées à l’organisation de cet événement. Des réunions internes et internationales ont eu lieu pour identifier, sélectionner, collecter les objets et produits. Toutefois, un groupe fantôme de WhatsApp est ouvert pour arnaquer les citoyens comoriens.
Les Comores participeront pour la première fois à l’Expo Dubaï 2020. Le secrétariat technique permanent prend sa responsabilité pour l’organisation de cette exposition. La directrice générale de l’artisanat, Rahamatou Goulam a précisé les efforts de ce secrétariat et le gouvernement pour le bien de ce grand événement mondial. « Le secrétariat permanent travaille d’arrache-pied, du matin au soir et parfois les dimanches et les jours fériés, pour répondre aux exigences liées à l’organisation de l’Expo Dubaï 2020. Le gouvernement nous a soutenus financièrement. Certains produits sont déjà prêts pour être exposés. Les comités sont déjà formés et les réunions techniques sont en cours de déroulement. Les sensibilisations sont dans la bonne voie. Les préparatifs avancent bien », a expliqué la directrice générale de l’artisanat.
Toutefois, la directrice générale, Rahamatou Goulam a souligné qu’un groupe fantôme WhatsApp a été créé par des personnes malintentionnées pour arnaquer le peuple. « Ces efforts déployés par les responsables chargés pour ce grand événement, un groupe WhatsApp a été créé par des gens malintentionnés pour saboter cette expo Dubaï 2020. Ils commencent à arnaquer les gens sous prétexte qui est le Stp qui est responsable. Alors, je lance ce message au peuple comorien que le siège principal du Stp se trouve au CNAC Bandamadji. Nous envisageons des billets pour les artistes, les artisans, chanteurs, talentueux, entre autres, pour savourer la joie de l’organisation d’un tel événement. Des poursuites judiciaires pour les auteurs de cet acte d’arnaque du peuple se procéderont afin d’éviter à ne pas tomber dans le piège des éléments nocifs », a-t-elle crié.
Abdoulandhum Ahamada