ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Eliminés au  stade Yaoundé pour la dernière journée des éliminatoires de la coupe d’Afrique des Nations, les Cœlacanthes, mais, certaines autorités  croient toujours à une qualification. Alors que les Comores ont saisi le Tas de disqualifier le Cameroun, la délibération est le  mois de Mai prochain, à Genève.

L’équipe nationale des Comores

L’achèvement des éliminatoires de la coupe d’Afrique des Nations sous  défaite derrière les dos des cœlacanthes, semble  affirmer l’absence des Comores  à la grande compétition continentale prévue en Egypte le mois de juin prochain. Par conséquent,  certaines autorités restent jusqu’à présent confiant  et s’optimisent  auprès de la commission internationale contre la discrimination sportive qui exige le tribunal arbitrage de Genève de prendre en considération l’article 92 de la CAF  pour disqualifier les lions indomptables Camerounais.

« Je suis confiant »

 A travers une émission sportive accordée par l’ancien président de Ngaya Club de M’dé Bambao, Mr Hussein Abdallah dans les plateaux de l’Ortc, ce dernier croie toujours à un gain de cause qui pourrait solliciter les Cœlacanthes à arracher leurs billets vers l’Egypte pour  la coupe d’Afrique des Nations. «  Je suis confiant et je croie toujours à un gain de Cause auprès du  Tas pour que les cœlacanthes puissent être qualifiés à la prochaine coupe d’Afrique, » lance  Houssein Abdallah, l’ancien président de Ngaya Club de Mdé.

Ce dernier, n’a pas manqué l’expression pour féliciter l’ancien président de la fédération Comorienne de Football Tourki Salim, dont selon lui, le foot Comorien a connu une vitesse  supérieure sur le classement continental te international du football. « Nous avons un bilan positif depuis l’arrivée du Tourki Salim à la tête de la FCF. Les Comoriens lui devaient un maximum de respect », lâche t-il.

Avant que l’émission touche à sa fin, l’invité dans les ondes de l’ORTC  remet en cause la corruption qui gagne le terrain sur le sol Comorien, et il prône d’être candidat aux prochaines élections de la fédération de football Comorien.

Les Comores ont déposé une requête au tribunal africain de sport avec 70 millions pour appuyer le dossier d’exclusion des Lions indomptables à la coupe d’Afrique des Nations vu que le Cameroun n’organise pas cette rencontre continentale. Aujourd’hui, le TAS ne s’est pas prononcé pour ou contre le Cameroun.

70 millions versées

Alors que le rêve des Comores n’a de vaincre les lions indomptables du Cameroun le 23 mars dernier au stade de Yaoundé, a échoué dans le cadre de la  dernière journée pour les  éliminatoires de la coupe d’Afrique des Nations, prévue le mois de juin prochain en Egypte, une autre chance est possible si… Le tribunal africain de sport reste sourd et muet, négligeant  la requête des cœlacanthes, qui exige l’application de l’article 92 au point de disqualifier la sélection Camerounaise de football dans la grande compétition africaine de football. L’inaction de la première instance de football africain  laisse  interpréter, que la loi n’est faite que s’appliquer spécifiquement aux petites nations comme les Comores.

« Les 70 millions perdues pour les Comores à la demande qu’une justice soit faite n’est qu’un vers d’eau guetté dans l’océan. Si le TAS reste taciturne sur ladite requête des cœlacanthes, c’est une façon de  privilégier les lions indomptables à prendre part à la prochaine coupe d’Afrique des Nations », dit-on. La fédération du football comorien attend toujours la part du gouvernement comorien.

 

Nassuf.M.Abdou

Le ton monte entre les Comores et la confédération africaine de football (CAF). Trainée devant le tribunal arbitral du sport (TAS) la sélection  insulaire qui demande l’application de l’article 92 du règlement et la disqualification du Cameroun pour la Can 2019.


Le président de la CAF

 Suite à la perte de son statut de pays hôte, l’instance panafricaine a sèchement  répondu aux Cœlacanthes par la voix de son président, Ahmad. «  Ce pays a fait trop de tapage (…) il faut que les Comores changent de discours. Ils sont quatrièmes de leur groupe. Même s’ils estiment que le Cameroun ne mérite pas être à la Can, le Cameroun vient de montrer sur la pelouse qui mérite la qualification. Tout doit d’abord se jouer sur le terrain » a d’abord taclé le Malgache au micro d’Afrique Média avant de répondre à la requêté des Comores sur le fond.

 « Quant à la victoire, sur le papier il faut vraiment des irrégularités pour que cela soit pris en compte. Notre règlement est clair. L’article 92 parle d’un retrait et d’un désistement. Et juridiquement ce n’est pas le cas. Donc l’article 92 ne s’applique pas. C’est la CAF qui a décidé de reporter la Can du Cameroun et de faire ce glissement (désormais en 2021 ndr). C’est un rapport, pas une annulation de la Can au Cameroun n’a argué Ahmad « le Cameroun n’est pas frappé par cet article que les Comores veulent utiliser. Et  faute de texte bien claire là-dessus, c’est le comité exécutif qui prend la décision », charge au (TAS) désormais de trancher.

Source : Afrik Foot

CAN 2019 : Quel sort pour les Comores !

CAN 2019 : Quel sort pour les Comores !

Les Comores, qui ont saisi le tribunal arbitral du sport (TAS) pour demander l’exclusion du Cameroun des qualifications pour la CAN 2019, devront patienter avant d’avoir une réponse. Les Comores finissent en quatrième position samedi dernier derrière le Malawi pour différence de buts.

L’équipe nationale des Comores

De l’espoir ? Le Tas va-t-il se proclamer en faveur des Comores ? Alors que les Cœlacanthes des Comores sont inhumés à Yaoundé le samedi dernier sur un score de 3-0, l’espoir de participer à la CAN 2019 est incertain pour les comoriens. Puisque la Caf, dit-on, joue en faveur de la Cameroun. La Caf ne respecte pas ses règlements. Le 30 novembre dernier à Accra (Ghana), la Confédération africaine de football (CAF) avait retiré au Cameroun l’organisation de la CAN 2019. Et les Comores, en invoquant l’article 92.3 du règlement de la CAF, avait donc demandé que le Cameroun soit suspendu deux ans. L’instance de son côté, avait annoncé que le pays serait chargé d’organiser le tournoi en 2021, provoquant un glissement de calendrier, puisque la Côte d’Ivoire, qui devait accueillir la compétition à cette date, attendra deux ans de plus.

Les avocats des Comores disposent d’arguments solides. Mais la CAF, pour calmer le jeu après avoir retiré l’organisation de la CAN au Cameroun, a préféré agir autrement en lui confiant l’édition 2021 et en la maintenant dans le groupe de qualifications. Le TAS n’a donc pas encore pu statuer sur le recours des Comores. Une procédure d’arbitrage est ouverte. Mais le calendrier n’est pas fixé.

La FFC, s’étonne également que le TAS lui ait refusé le bénéfice de la gratuité de la procédure, d’un montant de 21 200 euros, une somme importante pour une fédération aux moyens limités. Et la CAF refuse elle aussi, de s’acquitter de cette somme, obligeant la fédération comorienne d’avancer au total 42 400 euros. Au total, la procédure, entre les honoraires des avocats, la rémunération des magistrats qui vont arbitrer l’affaire et les frais administratifs, l’addition pourrait grimper à 140 000 euros pour la FFC.

La rédaction

La société Telma multiplie son partenariat. A travers une cérémonie de signature entre la société Telma et la fédération comorienne de basketball, hier à Moroni, la société Telma se dit prête à accompagner cette fédération sportive pour donner beaucoup plus de dynamismes au sport notamment le basketball. Un contrat de 5 ans et un partenariat d’envergure marquant une nouvelle étape le pays.

Les deux parties signent la convention de partenariat

Un nouvel horizon pour le sport aux Comores notamment le basketball comorien. La société Telma aux Comores s’apprête à porter main forte à la fédération comorienne de basketball. Lors de la cérémonie de signature du protocole d’accord entre la société Telma et la fédération comorienne de basketball, Stephane Teyssedre, directeur général de Telma, s’est réjoui de cet accord qui va dans le sens de promouvoir le sport aux Comores en particulier le basketball. « Nous allons accompagner main à main la fédération comorienne de basketball pour son développement effectif », déclare-t-il. Selon lui, le protocole d’accord permettra à la fédération d’avoir une nouvelle visibilité et une autre forme. Dans un communiqué de presse publié par la société Telma, on peut lire, « Telma Comores apporte son soutien à 360° à la FCBB, appui aux ligues, mise à disposition d’offre et services, soutien financier et expertise. »

 La société Telma place le basketball en premier rang, puisque, « c’est une source de plaisir et de mixité, occupe une place de choix dans le cœur des comoriens. » Pour la société de télécommunication, « nous sommes fiers d’accompagner le renouveau du basketball comorien aux cotés de la FCBB avec une vision qui consiste à nous rapprocher encore et toujours de la population, des jeunes mais aussi les familles » lit-on dans le communiqué.

Quant au ministre de la jeunesse te du sport, Ladanti Houmadi, celle-ci salue cette initiative visant à donner beaucoup plus de couleurs pour le sport. Le basketball prend un pas en avant. Le président de la fédération comorienne de basketball, Saïd Ali Soultoine a manifesté la joie face à cet accord, qui, selon lui, « il s’agit d’un accord historique pour le basketball comorien. »

Kamal Saïd Abdou

Les Comores, qui ont saisi le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour demander l’exclusion du Cameroun des qualifications pour la CAN 2019, devront patienter avant d’avoir une réponse. Les Comoriens devront donc se déplacer au Cameroun le 22 mars pour un match décisif.

Amir Abdou n’est finalement pas vraiment surpris. « Quand on connaît le fonctionnement de la CAF, il ne faut pas s’étonner. Nous avons déposé notre dossier devant le TAS [Tribunal arbitral du sport, ndlr]. Et nous l’avons envoyé à la CAF. Laquelle, d’après nos informations, n’a pas encore envoyé le sien au TAS. Elle a encore quelques jours pour le faire. »

Le sélectionneur des Comores s’apprête à débuter à Châteauroux, à partir du lundi 18 mars, la préparation du match qui opposera son équipe au Cameroun, le 22 mars prochain à Yaoundé, pour la sixième et dernière journée des qualifications pour la CAN 2019 (21 juin-19 juillet), qui aura lieu en Égypte. Les insulaires, s’ils veulent rejoindre le Maroc, déjà qualifié dans ce groupe B, devront donc s’imposer face aux Lions indomptables. Les deux équipes avaient fait un match nul à l’aller (1-1), le 8 septembre dernier à Mitsamiouli.

« Il y a un règlement »

Pourtant, les Comoriens espèrent que le sort de ce groupe B se joue ailleurs que sur le terrain. Le 30 novembre dernier à Accra (Ghana), la Confédération africaine de football (CAF) avait retiré au Cameroun l’organisation de la CAN 2019. Et les Comores, en invoquant l’article 92.3 du règlement de la CAF, avait donc demandé que le Cameroun soit suspendu deux ans. L’instance, de son côté, avait annoncé que le pays serait chargé d’organiser le tournoi en 2021, provoquant un glissement de calendrier, puisque la Côte d’Ivoire, qui devait accueillir la compétition à cette date, attendra deux ans de plus, ainsi que la Guinée (2025 au lieu de 2023).

« Il y a pourtant un règlement. Nos avocats disposent d’arguments solides. Mais la CAF, pour calmer le jeu après avoir retiré l’organisation de la CAN au Cameroun, a préféré agir autrement en lui confiant l’édition 2021 et en la maintenant dans le groupe de qualifications. On a tout de même l’impression que quelque chose n’est pas normal », grince Amir Abdou.

On ne sait pas quand une décision sera rendue

Date butoir : le 18 mars à 12 heures. Le TAS n’a donc pas encore pu statuer sur le recours des Comores. « Une procédure d’arbitrage est ouverte. Mais le calendrier n’est pas fixé et on ne sait pas quand une décision sera rendue. Nous en sommes au début de la procédure », a confirmé à Jeune Afrique le service de communication du TAS, contacté le 14 mars. La Fédération de football des Comores (FFC) a par ailleurs transmis à la FIFA, et plus précisément à la Sénégalaise Fatma Samoura, la secrétaire générale, un courrier que Jeune Afrique a pu se procurer (document ci-dessous) pour l’avertir que sans intervention de sa part avant le lundi 18 mars à midi, elle saisira les tribunaux égyptiens (le siège de la CAF est basé au Caire).

La FFC, s’étonne également que le TAS lui ait refusé le bénéfice de la gratuité de la procédure, d’un montant de 21 200 euros, une somme importante pour une fédération aux moyens limités. Et la CAF refuse elle aussi, selon la FFC, de s’acquitter de cette somme, obligeant la fédération comorienne d’avancer au total 42 400 euros. Au total, la procédure, entre les honoraires des avocats, la rémunération des magistrats qui vont arbitrer l’affaire et les frais administratifs, l’addition pourrait grimper à 140 000 euros pour la FFC.

On a tout de même un peu le sentiment que la caf cherche à préserver le cameroun

Le tirage au sort de la phase finale de la CAN est prévu au Caire, le 12 avril prochain. « Nous n’avons aucune information. On a tout de même un peu le sentiment que la CAF cherche à préserver le Cameroun. D’ailleurs, Constant Omari, le vice-président de la CAF, avait déclaré que le Cameroun ne serait pas sanctionné sportivement. Alors qu’il y a un règlement. Il y a de quoi être en colère quand on entend de telles choses… Mais on se défendra jusqu’au bout », prévient Abdou.

Le sort de ce groupe B ne se jouera peut-être pas que sur le terrain, même si Ahmad Ahmad, le président malgache de la CAF, pense le contraire. « Je suis très confiant sur cette affaire. Nos arguments sont solides, et tout se décidera lors du match entre les deux équipes. Je rappelle que le TAS ne peut que rendre un arbitrage. Et s’il faut juridiquement saisir les cours compétentes, nous le ferons… ».

Source : Jeune Afrique

La sélection des handicapes comoriens a manifesté hier, devant l´ambassade de France auprès de Moroni, leur mécontentement suite au retard de délivrance des visas leur permettant de participer aux jeux des îles de l´océan indien la semaine prochaine. Les handicapes réclamaient le remboursement des passeports et leurs frais des visas.

Un ras-le-bol manifesté par la sélection des handicapes des Comores devant l´ambassade de France à Moroni, vu qu´un retard est observé quant à la délivrance des visas pour les jeux des îles de l´océan indien qui se tiennent à l´île de la Réunion, la semaine prochaine. Cette sélection des handicapes comoriens s´est montré catégorique, avec, un seul mot d’ordre : « nous voulons le remboursement de nos passeports et notre argent ». Alors que la ministre de la jeunesse et du sport a soumis un projet de ces jeux en l´occurrence la participation des handicapes comoriens aux jeux des îles de la Réunion au gouvernement pour validation. Il ne restait que la délivrance des visas après le dépôt des passeports et le paiement des frais des visas. « Nous devions partir le 12 février pour être à la Réunion le 14 de ce même mois pour les préparatifs.  L’ambassade nous a promis qu’il allait délivrer les visas le 14 février (hier ndlr) », a expliqué Issa Ibrahim.  

« Nous sommes venus ici à 8 heures pour voir si l’ambassadeur pourrait nous délivrer les visas afin d´être au rendez-vous. La réponse de l´ambassade ne nous a pas plu. On nous a promis de venir à 14 heures, pourtant nous devons être à bord de l’air Madagascar à 11 heures (hier). Ce qui reste incompréhensible », ajoute-t-il.

La sélection des handicapes comoriens a notifié la ministre du sport. Cette dernière a rassuré, selon Issa Ibrahim, que le dossier n´a aucun problème pouvant empêcher l´ambassade de délivrer les visas. Notre interlocuteur se plaignait puisqu´il a précisé que les précédents gouvernements s´occupaient d´une telle situation. « C’est une honte pour notre pays si nous ne participons pas à ces jeux de l´océan indien », indique Issa Ibrahim. Les handicapes comoriens aux jeux des îles de l´océan indien ont-ils reçu leurs visas ? A savoir qu´au moment où nous mettions sous presse, on n´a reçu aucune information sur leur sort.

Kamal Saïd Abdou

Le championnat de la première division à Ngazidja compte 6 journées. Amical club de chzeani, un des clubs qui concourent, se noie en phase aller. Aucun point n´a été enregistré par cette équipe. Mais les dirigeants de ce club restent optimistes.  

Amical Club de Chezani Mboinku

Amical club de Chezani est la toute jeune équipe de la première ligue pour cette nouvelle saison sportive. Ce club semble ne plus être dans son assiette, après 6 journées de rencontres dans divers stades. Aucun point en leur faveur n’a été signé. Une situation très complexe. Malgré cette décadence, certains dirigeants de cette nouvelle équipe de D1 croient toujours à une possibilité de renverser la tendance vers la pertinence. « C’est une situation très critique nous traversons depuis le début de la compétition de cette année. Malgré tout, je suis toujours optimiste comme je l’étais l’année dernière, qu´avec la volonté de nos jeunes joueurs, tout est possible de passer à la vitesse supérieure », pense Aliyane Mohamed, directeur technique de l’Amical club de Chezani.

Selon lui, au niveau de l’arbitrage, aucune confusion ni transgression n’a été signalée de leur part pendant ces 6 journées, « il s’agit tout simplement un problème lié au staff technique. » « La diaspora rassure par des moyens financiers et matériaux afin que nous puissions recevoir des joueurs talentueux dans le prochain mercato, afin d´aller l’avant », montre Aliyane Mohamed.

Etant donné que 8 défaites sont accumulées par cette équipe de Chezani dans le championnat de première ligue, la chance d’être retenue en ligue 1ne resterait qu’un fil de rasoir, pour tenter quelque chose d’avantage dans la phase retour. Mais personne ne peut en douter, dans la mesure où, dans cette compétition de football, elle n’existe aucune logique rassurante.

Nassuf.M. Abdou (stagiaire)

CAN 2019: La CAF est sous pression

CAN 2019: La CAF est sous pression

« Fermer les yeux au maintien des lions indomptables pour la  coupe d’Afrique des Nations, est arbitraire. » Me Saïd Larifou met la pression contre la caf avec plainte à l’expression de l’indignation de la fédération comorienne de football pour exiger le respect des textes du football Africain.

L’équipe nationale des Comores

En matière de défense des droits internationaux, Me Saïd Ealarif fait preuve de son patriotisme, pour obliger la CAF à mettre sur table de révision, la décision qui maintient les lions indomptables Camerounais dans la course de la coupe d’Afrique des nations en juin prochain. Me Saïd Larifou a déposé une plainte contre la première instance de la coupe d’Afrique des nations qui tant à piétiner les textes en vigueurs du football Africain au profit des lions indomptables Camerounais.

 «  Mon objectif, c’est une tractation contre des propos discriminatoires et antisémitismes véhiculés par Omari Selemani, 2ème vice-président de la Caf,  qui a tenté de justifier lamentablement, l’importance du Cameroun dans la grande compétition continentale prévue en Egypte en juin prochain, ses propos sont intolérables », lâche Me Saïd Larifou.

Omari Selemani a tenté de chosifier les cœlacanthes comme « une honte pour les Comores de renverser les lions indomptables au stade de Yaoundé, en mars prochain, pour la dernière journée des éliminatoires de la coupe d’Afrique des Nations. » Si, ce haut cadre du football africains craint les Cœlacanthes des Comores, c’est par ce qu’il en est conscient, de  la flexibilité, la discipline des hommes d’Amir Abdou.

Larifou lance un appel émouvant à toutes les autorités à se sensibiliser pour sauver le maillot  vert des Cœlacanthes face à cette confusion  orchestrée par certains membres de l’administration de la Caf.

Pour rappel, les Comores n’ont seulement besoin que 3 points, pour prendre le vol, vers l’Egypte à la coupe d’Afrique des Nations. Cela affirme le  duel capital qui animera tous les footballistiques de suivre les Comores et le géant du football Africain, à Yaoundé en Mars Prochain.

Nassuf.M.Abdou (stagiaire)

Sollicitée par les fédérations d’Afrique du Nord qui ont demandé de repousser le coup d’envoi de la CAN 2019 d’une semaine en raison du ramadan, la Confédération africaine de football a accepté et la compétition débutera le 21 juin au lieu du 15 juin mais et s’achèvera le 19 juillet 2019.

Du point de vue de l’organisation, la CAN 2019 sera décidément celle de tous les rebondissements ! Retirée au Cameroun puis réattribuée à l’Egypte le 8 janvier dernier, la compétition a connu un nouveau changement de taille dimanche puisque la date du coup d’envoi a été décalée d’une semaine !

Initialement prévu du 15 juin au 13 juillet prochains, le tournoi débutera finalement six jours plus tard pour avoir lieu du 21 juin au 19 juillet. « La Confédération africaine de football nous a officiellement informés du report », a annoncé Mohamed Fadl, un membre de la Fédération égyptienne de football (EFA) en charge de l’organisation de la CAN 2019. Cette décision a été prise à « la demande des pays du Maghreb, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie, pour cause de ramadan », a ajouté l’ancien joueur.

Ce mois sacré du jeûne pour les musulmans doit s’achever autour du 4 juin, soit avant le coup d’envoi, mais les pays concernés ont demandé et obtenu ce délai supplémentaire afin de gérer au mieux leur préparation et la récupération du jeûne. De son côté, la CAF n’a pas encore publiquement confirmé cette décision mais elle a modifié le compte à rebours sur son site officiel et celui-ci indique désormais que le coup d’envoi de la CAN aura bien lieu le 21 juin. Au passage, on remarque que l’instance a fait d’une pierre deux coups en profitant aussi de ce changement pour que le match d’ouverture tombe sur un vendredi, comme l’Egypte le souhaitait. En effet, ce jour marque le début du week-end en Egypte et les organisateurs espèrent ainsi attirer plus de monde au stade. Promis, maintenant il ne devrait plus y avoir de changements !

Toimimou Abdou Mbaé

L’attaquant français du Real Madrid, Karim Benzema, risque de quitter son club lors du prochain mercato estival. Le président Florentino Pérez, qui a échoué à remplacer Cristiano Ronaldo et l’entraineur Zinedine Zidane après leur départ, risque de perdre d’autres joueurs, l’été prochain.

En difficulté en championnat cette saison, plusieurs éléments (notamment Karim Benzema) aurait pris la décision de « changer d’air », révèle Eduardo Inda, le journaliste du site OK Diario. Ce dernier a aussi fait une révélation qui ne manquerait pas de faire réagir le président Florentino Pérez ainsi que les fans du Real Madrid. « Zinedine Zidane a dit à Benzema qu’il l’emmènerait là où il irait. Peu importe la destination de Zidane », a expliqué cet insiderdans des déclarations rapportées par le site français foot01.

Annoncé dans plusieurs clubs à l’instar de Manchester United, Bayern Munich et la Juventunus Turin, Zinedine Zidane n’a pas encore tranché et ne compte pas se précipiter pour choisir sa prochaine destination. Après avoir remporté trois ligues des Champions avec le Real Madrid, Zizou a décidé de quitter le club pour se reposer et s’offrir des vacances. Il devrait reprendre son travail à partir de la saison prochaine. Karim Benzema est donc, si on en croit Eduardo Inda, dans les valises de Zinedine Zidane.

Source : Jeune Afrique