Une cérémonie de lancement officiel des travaux de réhabilitation du réseau électrique a eu lieu jeudi dernier à SONELEC. Un projet financé par la Banque Africaine de Développement à hauteur de 20 millions 100 mille dollars américains, pour renforcer la fourniture électrique aux Comores.
Lancement des travaux de réhabilitation du réseau électrique
En vue de mettre fin à la crise énergétique qui malmène le pays ces derniers temps, Sonelec a eu un ouf de soulagement. La subvention tant annoncée est connue et le projet de réhabilitation du réseau électrique est lancé officiellement en présence des membres du gouvernement et de la banque africaine de développement. « Le défi auquel l’Union des Comores fait face, comme le reste des pays en voie de développement qui aspirent à l’émergence et à répondre de façon durable à la dépendance des hydrocarbures, est l’énergie. Néanmoins, il est temps de mettre un terme à la crise énergétique à travers une énergie renouvelable et infinie dont l’énergie des mines et volcanique », a fait savoir Abdou Saïd Mdahoma, directeur de Sonelec.
Le représentant de la banque africaine de développement, Amadou Tcharé se félicite d’avoir pris part à la cérémonie de lancement du projet de réhabilitation du réseau électrique, devant permettre, la fourniture électrique dans le pays. « Nous avons jugé très pertinent d’appuyer ce grand projet au bénéfice des Comores à croissance accélérée pour établir et améliorer le fonctionnement du réseau électrique plus durable », démontre Amadou Tcharé, représentant de la banque africaine de développement. Selon lui, l’institution africaine de développement (BAD) reste convaincue, que « la réhabilitation du réseau du centrale hydroélectrique, permettra d’améliorer le taux d’accès à l’électricité aux Comores. »
Ce mercredi 20 février 2019 à itsanra Mdjini, le carrefour des jeunes auto-promoteurs vient d’être inauguré par l’association des jeunes auto-promoteurs de cette localité. Une autre façon de lutter contre la pauvreté dans la communauté.
Coupure du ruban du carrefour des jeunes auto-promoteurs
Composée d’une équipe de tout genre, l’association des jeunes auto-promoteurs s’engage à travers des perspectives à lutter contre le chômage pour assurer des meilleures conditions de vie aux jeunes en particulier. L’objectif de cette association tient à permettre aux structures à savoir le Carrefour des jeunes auto-promoteurs d’avoir une bonne appréhension et maitrise de l’environnement des affaires dans le secteur agroalimentaire.
Le carrefour est une plateforme d’accompagnement à l’entreprenariat qui développe pour ses membres des instruments innovants de financement et d’investissement basés sur la coopération et la synergie de compétences multiples. « Nous sommes là pour la promotion de l’esprit entrepreneurial et aussi une sorte d’accompagnement pour l’insertion professionnelle des jeunes à élaborer leur projets, à bénéficier notre expertise par ce que nous rassemblons un domaine de diversité », a expliqué Djamil Ben Ali, président de la coopération des jeunes auto-promoteurs. Selon lui, parmi leurs perspectives, c’est de décentraliser tous les services de paiement dans ce carrefour à travers les transferts d’argent.
La présente coopération occupera une place prépondérante dans la vie quotidienne, elle assure une fonction intermédiaire entre porteur de projets et investisseur dans le but d’accompagner les initiatives de création de développement, d’épargner ses partenaires contre les droits exorbitant des autres banques.1.1000.000 kmf est le fonds (fonds propre) qui a servi l’accomplissement de ladite institution.
L´office national de commercialisation du riz aux Comores a mis en vente un nouveau riz appelé Kayiri au fin de satisfaire la population. Un riz de haute qualité qui représente de 2% de brisure. Toutefois, le prix d´un kilo de Kayiri est exorbitant ainsi que le prix d’une tonne. Combien coute un sac de kayiri ?
Bâtiment d´Onicor
Kayiri nouveau riz de luxe, commandé depuis le champ de production ou source. « Le riz Kayiri est parfait, il ne présente aucun danger », affirme Elarif Djabir, chargé de communication à Onicor. Par rapport aux autres riz aux Comores, le chargé de communication a indiqué que « le riz ordinaire représente 10% de brisure. » Le riz kayiri ne va pas remplacer le riz ordinaire, selon l´office de commercialisation de riz.
Selon le chargé de communication, une fois le pourcentage de brisure diminue, « cela justifie la qualité propre du riz. » « Nous avons confiance du riz Kayiri », lance Elarif Djabir. Le riz Kayiri est bien commandé par Onicor mais il n´est pas comme celui du riz ordinaire, dit-il. « Nous avons le monopole du contrôle du riz ordinaire. L’achat du riz ordinaire est réglementé par une loi », précise le chargé de communication, Élarif Djabir.
Selon nos informations, le prix du riz kayiri, le kilo se vend à un prix abusif. 900 kmf le kilo. Un prix exorbitant par rapport aux riz qui se vendent aux Comores, quel que soit, le riz ordinaire, le riz basmati, Mahmoud 500, entre aurez. Une tonne de riz serait fixée à 825 mille kmf. Et pour le sac sachant que l’Onicor ne vend plus un sac de riz.
La compagnie Tullow Oil va mener une campagne de prospection pour tenter de déceler la présence d’hydrocarbures au large de l’archipel.
Le rêve de faire des Comores un pays pétrolier berce le président de l’archipel, Azali Assoumani, après que son prédécesseur, Ikililou Dhoinine, a été le premier à octroyer des blocs d’exploration, en 2012. Mais si une potentielle découverte pourrait changer l’économie du pays, qui pointe au 182e rang mondial en termes de PNB par habitant, elle pourrait également contribuer à tendre les relations avec la France sur la question de Mayotte.
People demonstrate by the French Embassy as they hold anti-French placard in protest to the current immigration situation in the French Indian Ocean territory of Mayotte, on April 12, 2018 in Moroni, Comoros. (Photo by Youssouf IBRAHIM / AFP)
Jusqu’à peu, l’exploration pétrolière aux Comores était conduite par de petites firmes qui n’avaient pas les moyens d’envisager seules le forage de puits d’exploration. L’entrée de la compagnie britannique Tullow Oil sur les blocs 35, 36 et 37, fin novembre, va changer la donne. Présente dans une dizaine de pays africains ainsi qu’en Amérique latine, Tullow Oil a déjà à son actif la découverte de pétrole au Ghana et en Ouganda. Elle produit près de 90 000 barils par jour et a des moyens financiers et techniques importants pour mettre en valeur le potentiel offshore des Comores.
Jusqu’à présent, seuls des indices favorables ont été recueillis, mais aucune certitude ne permet de dire que les Comores produiront un jour des hydrocarbures. La raison est simple : il n’y a jamais eu de forage au large de l’archipel. Mais si l’exploration a été freinée par la baisse violente des prix du baril à partir de 2014, les cours se sont appréciés de nouveau depuis quelques mois ; et la zone de l’offshore africain comprenant les Comores, le Mozambique et Madagascar fait désormais rêver les géologues et les hommes politiques locaux.
Gigantesques découvertes au Mozambique
Les blocs 35, 36 et 37 sont situés à proximité des gigantesques découvertes mozambicaines au large de la province de Cabo Delgado. Depuis 2010, les majors italienne ENI et américaine Anadarko ont mis au jour, sur deux petites zones, un volume de gaz similaire à celui du Nigeria, jusqu’alors premier pays africain en termes de réserves de gaz. La production commencera dès 2022 et le Mozambique sera propulsé dans le peloton de tête des plus importants producteurs de gaz liquéfié d’ici à une décennie.
Deux ans après les premières découvertes mozambicaines, des sociétés pétrolières se sont jetées sur les Comores. L’une d’entre elles, Discover Exploration, est partenaire de Tullow Oil sur les blocs 35, 36 et 37. La société a été fondée en 2012 par un ancien cadre de Shell, Michael Blaha, qui venait de vendre pour près d’un milliard de dollars (environ 750 millions d’euros à l’époque) sa société Cove Energy, qui détenait 8,5 % d’une des deux zones riches en gaz du Mozambique. Michael Blaha a alors sauté sur l’occasion pour prendre des blocs dans une des zones d’Afrique les moins « radiographiées » par les pétroliers : les Comores.
Tullow Oil veut aller vite. La compagnie s’est engagée à mener dès 2019 une coûteuse campagne sismique 3D. Cela consiste à envoyer des ondes à partir de bateaux, en surface, qui permettent de renvoyer l’image des différentes couches géologiques sous l’eau pour localiser d’éventuels pièges à hydrocarbures. Tullow Oil ne se lancera dans un forage d’exploration que si les résultats de cette campagne sont positifs. Dans ce cas, il est fort probable qu’une major pétrolière soit appelée à la rescousse, les trois blocs ayant des profondeurs marines très importantes obligeant à envisager des puits de plusieurs dizaines de millions de dollars, sans certitude de résultat.
Une manne potentielle au large de Mayotte
L’Union des Comores a pris son indépendance de la France en 1975 après l’organisation d’un référendum sur ses quatre îles, dont Mayotte, qui avait alors choisi de rester sous souveraineté française. Depuis lors, les présidents comoriens ne cessent de répéter dans toutes les instances internationales qu’ils veulent le rattachement de Mayotte aux Comores. Des tensions régulières apparaissent, notamment en ce qui concerne les importants flux illégaux de migrants comoriens à Mayotte, que la France renvoie. En mars, Moroni a même refusé de reprendre ses citoyens arrêtés à Mayotte, arguant que le pays ne reconnaît pas la souveraineté française sur l’île voisine.
La possible découverte de pétrole offshore risque d’attiser encore un peu plus la tension avec Paris, les Comoriens voyant leur échapper une manne potentielle au large de Mayotte. La France ne mène aucune exploration dans la zone territoriale autour de l’île, considérée par les géologues comme beaucoup moins propice à la découverte d’hydrocarbures.
Hier, la banque centrale des Comores (BCC) a tenu à l’hôtel Retaj, un séminaire de restitution des travaux sur « l’optimisation du financement de l’économie en Union des Comores. » Un séminaire d’échanges sur les problèmes que rencontre le secteur privé dans les banques. Le gouvernement, les institutions financières, le secteur privé, entre autres, se sont réunis sur l’optimisation du financement du secteur privé.
Le secteur privé, un pilier du développement économique. Les problèmes que ce secteur traverse, préoccupent la banque centrale. Tout au long du séminaire, hier à Moroni, l’accent a été mis sur l’économie du pays qui se construit surtout avec des hommes et femmes, des entreprises privées et publiques, mais aussi, des institutions financières capables d’accéder avec maitrise la demande de financement.
Cet événement a été honoré par le président de la République, les membres de son gouvernement, des représentants de la banque mondiale et des autres hautes responsabilités du pays. Le ministre des finances et du budget, Saïd Ali Saïd Chayhane a, dans son mot d’ouverture, fait comprendre et proposer des solutions aux problèmes liés au financement par les banques de l’économie comorienne à travers un secteur privé structuré et structurant, capable de porter un développement durable.
Selon le ministre des finances et du budget, l’analyse de la croissance économique comorienne montre « une faible structurelle plaçant notre croissance économique régulièrement en dessous de 4%. » Une situation qui résulte un fait que cette économie est faiblement diversifiée, non marchande et à majorité informelle. Un taux de risque bancaire reste très élevé, avec plus de 25% des crédits octroyés. « Que faire alors pour financer de manière efficace et durable le développement de notre économie ? Qui doit le faire ? Comment doit-on le faire ? Avec qui ? Pourquoi ? Financer qui ? Financer quoi ? Tels sont les questions auxquelles vous avez été confronté tout au long de vos travaux », selon Saïd Ali Saïd Chayhane.
« Le secteur primaire reçoit 1% de financement »
Le gouverneur de la BCC, Younoussa Imani a fait une présentation des travaux réalisés. La structure du crédit à l’économie montre que 80 milliards d’en cours de crédit brut dont 17 milliards de crédits douteux. Soit de 69% à court terme, 25% à moyen et 6% à long terme. Le secteur primaire reçoit seulement 1% de financement bancaire et les financements alloués au secteur vont dans le commerce. Les problèmes soulèvent dans les banques avec un taux de créance douteux élevé de 25%, une faible bancarisation (épargne insuffisante) de 22%. Du coté de la demande, il s’agit de problème de difficulté à rembourser les prêts, couts élevés des services bancaires et autres. Le gouverneur de la banque centrale a en fin fait des suggestions et recommandations sur les créances douteuses, sur la mobilisation de ressources (internes et externes) à moyen et à long terme pour financer l’économie et la manière de satisfaire les demandes de crédits et réduire les risques bancaires.
11 établissements bancaires et financiers de micro finance
Le président de la République, Azali Assoumani s’est réjoui de l’état économique et financier des Comores. Le pays comptabilise 11 établissements bancaires et financiers de micro finance. « Depuis 2004, le financement bancaire a été multiplié par 8, passant de 10 milliards en 2005 à 80 milliards aujourd’hui », a fait savoir le chef de l’Etat. Pour lui, le développement de ce pays dépendra de « l’état de santé de son secteur privé et de ses institutions bancaires. » Sans un secteur privé fort et un secteur bancaire dynamique, capable de financer l’économie, affirme Azali Assouamani, il ne peut pas avoir de croissance économique forte. Pour se faire, « il faut remédier aux maux qui rongent le financement du secteur privé par les banques », conseille-t-il.
L’office national de la vanille (ONAV) a tenu hier à Gulden Tulip une cérémonie de lancement de l’observatoire des prix de la vanille et du girofle a eu lieu hier au Golden Tulip. L’occasion pour cette institution de valoriser les produits de rente dans le marché international, de la production à l’exploitation.
L’ONAV lance l’observatoire des prix des produits de rente www.al-fajrquotidien.com
La vanille et le girofle connaissent une baisse au niveau du marché international. Une baisse caractérisée par plusieurs facteurs. L’ONAV s’active de valoriser les produits de rente aussi bien au niveau national qu’au niveau international. Le directeur général de l’Onav, s’est réjoui aux résultats qui seront observés par la création de la plateforme en ligne de l’observatoire des prix de la vanille et du girofle. « L’observatoire en ligne des prix de la vanille et du girofle pourra informer en permanence l’état évolutif du prix des produits de la vanille et du girofle dans le marché international, enlever les obstacles et éclairer les acteurs de la filière », a indiqué Aboubacar Abdoulwahabi, directeur général de l’Onav. Pour lui, cela permettra d’explorer d’autres marchés pour « nos produits de rente dans le monde en ciblant des nouveaux pays et offrir les mêmes intérêts et avantages à tous les acteurs. »
Booster l’exploitation des produits de rente comoriens
Dans l’optique de la politique d’émergence, Aboubacar Abdoulwahabi a précisé que tous les acteurs ont à « promouvoir l’agriculture autant que les autres, pour atteindre une autosuffisance alimentaire et booster l’exploitation de nos produits de rente. » « Nous devons œuvrer ensemble et chacun dans son domaine respectif afin d’asseoir les bases nécessaires pour la relance des filières de nos produits de rente », lance-t-il.
Les produits de rente ont besoin d’un nouveau souffle qui va de leur réorganisation, à la sécurisation des opérations et de zones d’exploitation. « Des projets sont initiés par l’office comme le projet de mise en place des champs communaux pour la multiplication de lianes et autres », annonce le directeur général de l’ONAV.
Où en est avec le projet de mise en place d’une force mécanique ?
Les Comores font partie des pays de l’Afrique, de l’océan indien, producteurs et exportateurs de la vanille. Cette culture de rente passe à la vitesse supérieure ces dernières années, malgré l’insécurité dans les champs et aux divers dégâts constituant un handicap à l’épanouissement de la production de la vanille aux Comores. Les agriculteurs avaient exhorté le soutien inlassable du gouvernement au niveau sécuritaire et commercial afin de préserver l’économie nationale.
Le gouvernement de l’Union des Comores se disait prêt à travailler en commun accord avec les producteurs de la vanille pour promouvoir cette activité économique, et d’assurer la sécurité et la technique des équipements devant remplacer l’énergie humaine. Le ministre chargé de l’agriculture Moustadroine Abdou avait verbalement partagé l’inquiétude des agriculteurs face aux conséquences néfastes auxquels ils traversent habituellement. « Nous sommes prêts par tous les moyens de sauver notre richesse et de protéger les agriculteurs. Nous allons mettre en place des mesures de surveillance de toutes les boites d’achat de la vanille et nous souhaitons dans un cours délai, mettre fin le châtiment physique que subissent les agriculteurs en le remplaçant par une force mécanique des machines, qui seront à la portée d’une production en masse et à longue surface aux champs cultivables », avait lancé le ministre en charge de l’agriculture.
Presque une semaine depuis que la région de Badjini est privée de l’électricité. Une situation est assez délicate. Les citoyens et surtout les commerçants se plaignent et dénoncent cette négligence de Sonelec au détriment de la région.
Ancien Ma-mwe
Quelques jours avant le lancement officielle des campagnes des élections présidentielles et gubernatoriale, la région de Bandjini se sent lésée quant à la distribution du courant par la société nationale de l’électricité.
Une des commerçants de Tsinimoichongo dans le Bandjani, Mmiliza Mlamali a déblatéré Sonelec. Mmiliza Mlamali déplore le fait que leurs activités commerciales ne marchent pas. Une semaine sans électricité, cela défavorise les petits commerçants de la région. Pour cette habitante de Ntsimoichongo, les responsables de sonelec devaient annoncer leur programme pendant les 45 jours délestage. «C’est vrai que nous possédons des groupes électrogènes et des panneaux solaires mais nous avons obligatoirement besoin de l’électricité », se plaint-elle.
Malgré l’expression de son mécontentement, Mmiliza a encouragé la population de rester tranquille pour traverser ce problème. « Nous sommes appelés à nous soutenir les uns des autres en attendant le changement. J’ai l’habitude de vendre les produits halieutiques pour faciliter la vie quotidienne et je continuerais à exercer mes activités » dit-elle avec courage.
Un nouveau câble sous-marin fly3 déjà aux Comores depuis dimanche dernier. Il est mis à jour par la société d’Etat Comores câble appuyé par la banque mondiale. Le directeur général de cette société nationale rassure à la population comorienne « une communication à très grande vitesse, durable et résistible contre les menaces naturelles. »
En matière de renforcement des capacités pour la télécommunication aux Comores, la société de l’Etat Comores câble investit le fer de lance. Dimanche dernier, un géant câble sous-marin fly3, doté de 4000 Giga beat a été planté. Une porte de sortie qui va servir les Comores à s’ouvrir largement à l’échèle internationale dans le domaine de la communication, surtout pour l’internet. Le directeur générale de Comores câble relate l’information sur le potentiel intérêt de ce gigantesque câble sous-marin fly3.
« L’objectif de cet câble vient de renforcer les Comores en offrant des capacités supplémentaires, mais aussi en grandissant la protection des flux voix et données des autre câble. Il possède une capacité et vitesse énorme d’une durée de vie de 25ans» laisse entendre le Dg de la dite société, Karani Ali. Il est à savoir que, ce nouveau câble installé, est conçu d’une technologie combinée au multiplexage en longueur d’onde. Il sera en mesure de prendre le relai une fois les menaces naturelles mettent l’ancien câble Easy en danger.
L’investissement de ce nouveau câble est évalué à 14, 000,000 d’euros la part de l’union des Comores financé par le banque mondiale à travers le projet RCIP4. Cette main contribuable représente 55% du cout globale. Entre les deux opérateurs économiques: Orange et SRR de la Réunion, dont chacun octroi 22,05%. « C’est une étape très importante pour la télécommunication de ce pays et pour l’amélioration de l’économie digitale. Nous avons financé plus de 6000 dollars pour que les Comores puissent se relier avec le reste du monde avec une connexion à très grande vitesse» a annoncé le représentant de la banque mondiale, Rasite Perteve. Etant donné cette implantation stratégique de ce nouveau câble Fly 3, les Comores resteront le centre de l’océan indien, que doivent traverser les opérateurs économiques de l’océan à travers cette corde électrique.
Des droits impayés sont laissés par la société Golf Com. A travers un accord signé entre le gouvernement, n’a pas honoré sa part de responsabilité. Le syndicat de transport, de manutention, et de magasinage au port de Moroni dénonce le non-respect de l’engagement pris par le gouvernement et appel le chef de l’Etat de prendre en considération les droits du syndicat.
Dr Masse : Les représentants du syndicat
Un engagement non respecter par le gouvernement, le syndicat de transport, de manutention et de magasinage crie. Des droits laissés par la société Golf Com et autres suspendus par le gouvernement et Moroni terminal. Le syndicat à travers son président et le secrétaire général, respectivement Mohamed Soilih et Mdroivili Soha tirent la sonnette d’alarme « le syndicat est mis en hors circuit par le ministère des finances et le ministère du transport » déclarent-ils.
Le syndicat déclare son droit, un accord tripartite est signé entre le syndicat, le ministère des finances et Moroni terminal. « Le gouvernement n’a pas honoré son engagement vis-à-vis de cet accord. Et pourtant il a accepté de verser ce droit » a précisé Mohamed Soilih alias Dr Masse. Ce dernier s’est réjoui de la volonté manifestée par Moroni Terminal « contrairement au non-respect de cet accord par le gouvernement, Moroni Terminal a honoré son engagement » souligne-t-il. Au de-là des droits non payés par le gouvernement s’ajoute le droit perçu par chaque société d’Etat. Pour le syndicat, ces droits de surestaries dont le montant est fixé à 50% sont suspendus par le gouvernement et Moroni Terminal. Le syndicat interpelle le chef de l’Etat qui s’est déclaré avocat d’office du syndicat de manutention de prendre en compte son engagement manifesté lors de la rencontre avec ledit syndicat a l’occasion de la présentation des vœux du nouvel an.
En octobre 2018, nous pensions que Google+ avait touché le fond. Google avait annoncé la fermeture – en août 2019 – de son réseau social, suite à la découverte d’une faille de sécurité. Deux mois plus tard, la situation de Google+ s’est empirée : une nouvelle faille, bien plus massive, vient d’être repérée. Conséquence directe : Google+ fermera ses portes plus tôt que prévu, en avril 2019.
Pourquoi Google ferme Google+
Google a tout simplement pesé le pour et le contre du maintien de Google+. Côté « pour », cette poignée d’utilisateurs actifs. Côté « contre », des risques pour la sécurité des données personnelles liées à la construction-même du réseau social. Google a voulu faire de Google+ une plateforme ouverte aux développeurs, qui pouvaient concevoir des outils tiers basées sur les données des internautes – à condition que ceux-ci leur accordent les droits nécessaires.
Cette propriété de Google+ fait que les risques inhérents à l’usage des données des utilisateurs étaient trop grands. Cela rappelle un peu l’affaire Cambridge Analytica : des personnes ont transmis leurs données personnelles à une entreprise, via un tiers (Facebook). L’entreprise qui a récolté ces données les a utilisées à des fins non annoncées. Cette affaire aurait très bien pu éclore sur Google+ si les utilisateurs avaient été au rendez-vous.
Google+ va fermer en août 2019
Google précise que son audit a permis de repérer une faille dé sécurité dans une API Google+. Cette faille aura été le dernier clou sur le cercueil de Google+. Le réseau social fermera ses portes en août 2019 et les utilisateurs seront accompagnés, d’ici là, pour récupérer leurs données. Google+ rejoint le cercle (!) de plus en plus ouvert des échecs de Google et des services fermés par la firme de Mountain View.