ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

L’Unicef ne cesse d’apporter main forte à la direction nationale de la santé. Un lot de matériels informatiques a été remis à la direction générale de la santé par l’Unicef. Selon Dr Médard de l’Unicef, ces équipements serviront à l’amélioration du fonctionnement des centres d’appel « 1717 » des et contribueront à la bonne gestion des rumeurs liées à la pandémie ainsi qu’à la réponse du besoin de recevabilité en vers les populations quant aux interventions menées par le gouvernement.

Le lot est composé de cinq ordinateurs, une imprimante, quatre boxes de connexion, 10 téléphones portables et des consommables de bureau. « Cette dotation sera suivie d’un renforcement de capacités des acteurs pour une meilleure utilisation des équipements », a déclaré Dr Médard de l’Unicef qui a salué les efforts conjugués, l’engagement et motivation pour les opérateurs à assurer la permanence des lignes dans des conditions souvent difficiles. « La présente dotation a été précédée d’installations solaires des trois centres afin de permettre un fonctionnement continue des équipements », a-t-il avancé. Le représentant de l’Unicef a ajouté que la ligne verte « 1717 » est devenue un outil indispensable pour la veille sociale et l’orientation des interventions de santé en faveur de la population comorienne.

« Initié au tout début pour les besoins de la réponse à la covid-19, son utilité est démontrée dans les autres secteurs de la santé et au-delà. C’est donc dans le but de rendre les centres plus performants que l’Unicef fait dotation », a précisé le représentant de l’Unicef. Cette organisation est un partenaire stratégique pour la direction de la santé. « Ces matériels vont renforcer davantage la lutte contre la covid-19 », a insisté Saindou Ben Ali Mbae, directeur général de la santé. Selon lui, la remise de ces équipements aidera la direction à travailler efficacement dans la riposte et la gestion de la pandémie de façon optimale. A l’en croire, sans information fiable, la riposte sera difficile. 

Kamal Said Abdou

L’ONG santé diabète avec l’appui du ministère de la santé se mobilise pour célébrer la 32e édition de la journée mondiale du diabète (JMD), sous le thème « accès aux soins du diabète ». À cette occasion, l’ONG santé diabète a tenu, hier mercredi, une conférence de presse pour annoncer les activités à réaliser au cours de la période du 3 au 20 novembre 2022.

La date du 14 novembre marque la journée mondiale du diabète. À l’occasion de cette journée, l’ONG santé diabète continue de se mobiliser en faveur des personnes atteintes du diabète. Avec comme thème « accès aux soins du diabète », l’ONG santé diabète en appui avec le ministère de la santé, prévoit l’organisation des activités de sensibilisation, de mobilisation de la population et à l’écoute de toutes les personnes atteintes du diabète.

Hier, face aux journalistes, le directeur général de la santé, Saindou Ben Ali a évoqué tout ce qui concerne le diabète : sa  définition, la situation en Union des Comores, l’accès aux soins du diabète, la prévention, entre autres.

« Le diabète est une maladie qui se définit par une glycémie trop élevée. Le diabète type 1 touche 10% des personnes atteintes du diabète et principalement les enfants et les jeunes adultes. Le diabète de type 2 concerne 90% des personnes atteintes de cette maladie et plus particulièrement les adultes de plus de 45 ans. Le diabète gestationnel survient chez les femmes enceintes. En Union des Comores, 4,8% des 25 à 60 ans sont diabétiques. Les hommes sont plus touchés. Les plus âgés sont davantage plus concernés. Il faut réduire les facteurs de risques en adoptant une alimentation équilibrée, une activité physique régulière, pour surveiller son poids », a expliqué le directeur général de la santé.

À noter que, selon le programme de la JMD 2022 et activités liées au diabète, des conférences-débats seront organisées, des outils de communication seront élaborés, des marches collectives, des journées portes ouvertes et des activités de sensibilisation. 

Abdoulandhum Ahamada

Face à la montée des cas positifs de la Covid-19 en Union des Comores, le ministère de la santé a fait un point de presse, samedi dernier, à Moroni. La ministre de la santé a évoqué le nombre des cas positifs recensés du 1er octobre au 04 novembre 2022, l’analyse globale de la maladie dans le pays et la routinisation du vaccin. La ministre de la santé appelle, en effet, à la vigilance et au respect des mesures barrières.

Le nombre des cas positifs s’accentue en Union des Comores. Une situation aggravante qui nécessite de la vigilance et du respect des mesures barrières. Face à cette situation inquiétante, le ministère de la santé a tenu, samedi dernier, une rencontre avec la presse pour éclaircir la situation, notamment la recrudescence des cas positifs, l’analyse globale de la situation de la maladie et la routinisation du vaccin contre la Covid-19. « Du 1er octobre au 04 novembre 2022, les Comores enregistrent 424 cas, soit une moyenne de 12 cas/jour. Sur les 424 cas enregistrés, 16 cas des professionnels de santé, 211 ont un schéma vaccinal complet et 343 cas communautaire. Tous les âges sont atteints avec une prédominance de 30 à 39 ans. 10612 tests ont été effectués du 1er octobre au 04 novembre 2022 dont 424 cas positifs, soit un taux de positivité de 4% », a révélé la ministre de la santé, Loub Yakouti Athoumani. 

Afin de réduire la circulation du virus, la ministre de la santé appelle la population à prendre toutes les précautions nécessaires et à respecter les gestes barrières. « Pour stopper la circulation rapide du virus, il faut améliorer la surveillance aux points d’entrées, renforcer les mesures barrières, redoubler la vigilance et se présenter rapidement dans la structure sanitaire la plus proche en cas de maladie. Le pays est atteint à une couverture vaccinale de 49% de la population totale (6eme sur 47 pays au plan régional) », a indiqué la ministre, tout en précisant que des activités vaccinales intensives sont planifiées. 

Abdoulandhum Ahamada

Un atelier de deux jours sur la révision du guide thérapeutique covid-19 aux Comores s’est ouvert hier au Retaj avec comme objectif la validation du document. La validation du document permettra d’avoir un document mis à jour pour une meilleure prise en charge optimale des patients.

La mise à jour de ce document vient au moment opportun. Elle traduit la volonté du gouvernement de lutter contre toutes les pandémies d’une manière générale et celle du covid-19 en particulier. « Nous devons hautement apprécier les grands efforts déployés par les autorités du pays depuis l’apparition de la Covid-19 », déclare Dr Ahamada Msa Mliva, représentant de l’Oms. Ce dernier rappelle que plusieurs documents stratégiques de coordination, de plaidoyer et de mobilisation de ressources ont été élaborés par les experts du pays avec l’appui des partenaires, notamment l’OMS, qui ont appuyé le renforcement de la résilience du pays face à cette nouvelle pandémie et qui ont permis la mobilisation des ressources domestiques et additionnelles auprès des partenaires.

« C’est dans ce cadre que l’Union des Comores s’est engagée à la mise à jour du guide thérapeutique national de prise en charge des patients de la Covid-19. Cet exercice a mobilisé plusieurs experts du pays des différents services, programmes et directions du ministère de la santé, des experts de l’OMS et d’autres partenaires pendant plusieurs jours. Le document a été mis à jour avec les contributions apportées par plusieurs cadres au cours des réunions présentielles et virtuelles. Vos observations sont hautement appréciées et ont enrichi cette nouvelle version actualisée du guide », indique-t-il.

La deuxième révision du guide est lancée depuis le 14 octobre dernier, selon Ahmed Mohamed Ahmed,  secrétaire général adjoint au ministère de la santé qui a représenté la ministre. « L’Union des Comores dispose d’un système de santé performant qui permet à toute la population, en particulier les plus vulnérables et les plus démunies d’accéder à des soins de santé de qualité avec l’implication effective de tous les acteurs et parties prenantes publiques et privées dans un esprit de solidarité et de justice  sociale », dit-il. A en croire le secrétaire général adjoint, divers instruments et documents stratégiques ont déjà été élaborés dans la perspective de la couverture maladie universelle et notamment dans la lutte contre la covid-19. 

Kamal Said Abdou

 

 

 

 

 

 

 

 

Le gouvernement comorien, à travers le ministère de la santé, ne cesse de déployer ses efforts pour faire face à la Covid-19. Un plan de communication, de mobilisation des ressources financières et matériels a été mis en place depuis le début de l’apparition des premiers cas positifs liés à cette pandémie. En effet, un atelier d’évaluation des activités de la communication, de la mobilisation et de la riposte contre la Covid-19 a été organisé par le ministère de la santé, la semaine dernière.

Du jeudi au samedi dernier, le ministère de la santé a organisé, à Moroni, un atelier d’évaluation des activités de la communication, de la mobilisation et de la riposte contre la Covid-19. Une activité financée par le projet vaccination. L’objet principal de cet atelier est de passer en revue les activités de mobilisation sociale et des engagements communautaires englobant les parties prenantes qui ont œuvré dans les différentes cohortes de vaccination ( ministère de la santé, DRS, les préfets, les maires et les chefs des villages, les comités villageois, les agents communautaires, les services d’urgences 17 17, jeunes reporters, journalistes, les partenaires techniques et financiers ( OMS, Unicellulaires, Compass et le projet vaccination).

Le directeur de la promotion de la santé,  Ahmed Said Ali a souligné qu’il s’agit d’une sorte d’évaluation des problèmes rencontrés au cours de la lutte contre la Covid-19 et les solutions envisagées puisque le pays estime instaurer une vaccination de routine. « L’objet de cet atelier de 3 jours est d’élaborer un arbre à problèmes et à solutions (les forces, faiblesses, opportunités et menaces) afin de pouvoir orienter l’activité vers la routinisation qui sera démarré le mois prochain », a expliqué le directeur de la promotion de la santé.

Abdoulandhum Ahamada

Les Comores enregistrent une hausse des cas liés au Covid-19. Selon les derniers chiffres, 134 cas positifs sont recensés. Une situation grave qui demande le renforcement des mesures barrières et la mise en surveillance dans les zones frontières aéroportuaires et maritimes, à l’entrée et à la sortie du pays. Un rebond des cas positifs est signalé et relâchement des mesures barrières.

Le nombre des cas positifs liés au Covid-19 augmente de jour au lendemain. Le dernier bulletin du ministère de la santé affiche 134 cas positifs et zéro cas de décès. Les mesures barrières contre la circulation du virus doivent être prises par les autorités sanitaires, notamment l’obligation du port des masques, lavage régulier des mains et le respect de la distanciation sociale. Les festivités publiques doivent être orientées et structurées afin d’éviter le pire et l’augmentation des cas positifs. Toutefois, si les mesures barrières ne sont pas renforcées, le pays risque de tomber dans un état désastreux causé par la pandémie.

En termes de renforcement des mesures de sécurité aéroportuaire et maritime, le ministère de la santé par le biais du directeur général de la santé, Saindou ben Ali Mbae a fait savoir qu’une équipe de la surveillance sanitaire des passagers est installé, depuis lundi dernier, à l’aéroport de Moroni. « Nos équipes sont déjà installées à l’aéroport afin de contrôler les entrées et sorties des passagers. La Covid-19 est déjà là, présente, aux Comores, mais, il n’y a aucun cas en milieu hospitalier », a annoncé le directeur général de la santé, en conférence de presse, lundi dernier, dans son bureau.

Il est à noter que la vaccination n’est pas du tout, un traitement  contre la Covid-19, mais, une mesure préventive pour éviter des formes graves. Il faut agir en toute vigilance puisque la plupart des citoyens ont relâché les mesures barrières contre la maladie.

Abdoulandhum Ahamada

Dans le cadre du projet de renforcement de la coopération régionale en santé (COREG), une formation des professionnels de santé a débuté depuis, lundi dernier, à Moroni. Cette formation appuyée par Expertise France et l’ONG Santé Diabète permet à former les professionnels chargés de déployer « la prise en charge de l’enfant et de l’adolescent ayant un diabète de type 1 ». Une vingtaine de professionnels en santé ont bénéficié de cette formation, qui a duré 4 jours.

Depuis lundi dernier, une vingtaine de professionnels en santé de l’ensemble des trois îles indépendantes des Comores, bénéficient d’une formation axée sur « la prise en charge de l’enfant et de l’adolescent ayant un diabète de type 1 ». C’est une formation appuyée par l’Expertise France et l’Ong Santé Diabète en vue d’améliorer le parcours de soins des enfants et adolescents diabétiques dans chaque structure de référence.

Trois formateurs internationaux ont été mobilisés pour assurer la session de formation durant 4 jours. Et 8 professionnels de santé du CHN El-Maarouf, 3 du CHRI Fomboni, 6 du CHRI de Hombo (Anjouan) et 1 pour CMC de Mbeni étaient les principaux bénéficiaires de cette formation. À cet effet, Dr Rachmat Atttoumane, cheffe du projet offre de soins, Santé Diabète a précisé quelques signes ou remarques d’un enfant né avec le diabète de type 1.

« L’enfant (un nouveau-né) atteint par le diabète de type 1, a plusieurs signes ou remarques. La plupart des cas, il pisse souvent, avoir de la sueur, de la nervosité, des tremblements corporels, et autres. Une fois que les signes sont apparus, visiblement, l’enfant sera pris en charge, gratuitement, dès l’âge zéro jusqu’à vingt-cinq ans. Au-delà de cet âge, leurs parents doivent intervenir financièrement. Pour l’adulte, la prise en charge n’est pas gratuite. Toutefois, les prises en charge se font dans les hôpitaux de référence. Cette formation a pour objet de connaître tous les détails de cette prise en charge », a-t-elle annoncé, avant de souligner : « c’est une maladie compliquée, et sa prise en charge apparaît dans la glycémie ». 

Abdoulandhum Ahamada

 

Alors que l’Ebola se propage dans l’Ouganda, le gouvernement comorien et les autorités sanitaires ont effectué une visite à l’aéroport de Hahaya pour un certain nombre de mesures préventives contre la maladie. Et dès ce lundi des mesures préventives et sanitaires seront prises dans les aéroports et ports des Comores.

Les ministres de l’intérieur, des transports et de la santé accompagnés de l’Oms se sont rendus à l’AIMPSI pour un état des lieux afin d’enclencher dès aujourd’hui les mesures préventives et sanitaires dans les ports et aéroports pour protéger la population comorienne. « Nous rappelons qu’une épidémie d’Ebola sévit actuellement en Ouganda. La Tanzanie et le Kenya sont en alerte maximum. Etant des pays voisins, notre vigilance est de mise et primordiale », a-t-on déclaré.

« Des équipes sanitaires seront sur le terrain et resteront engagées contre cette épidémie. Raison pour laquelle, des mesures préventives et sanitaires seront prises dès ce lundi dans nos frontières », a indiqué une autorité sanitaire. A noter que l’Ebola est une maladie grave souvent mortelle chez l’homme, mais des vaccins et traitements existent contre cette fièvre hémorragique. Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine. Cette fièvre hémorragique se transmet à l’homme par des animaux infectés. La transmission humaine se fait par les liquides corporels, avec pour principaux symptômes des fièvres, vomissements, saignements, diarrhées. Selon l’OMS, le taux de létalité est de 25%. 

KDBA

Telma Comores s’est associée à la Fondation AXIAN, la Bic-Comores et l’Unfpa pour la mise en place d’un service médical, à travers, une « clinique mobile » spécialisée dans la santé mère-enfant, planification familiale et violence basée sur le genre. 108 villes et villages de Ngazidja qui seront couverts par la clinique mobile afin de sauver des vies de femmes.

Après Anjouan et Mohéli, c’est le tour de Ngazidja par la mise en place d’une clinique mobile ayant pour but de sauver des vies des femmes. C’est suivant le objectif fixé par l’Unfpa de « mettre fin aux besoins non satisfaits en planning familial, réduire les décès maternels évitables et la lutte contre les violences basées sur le genre ». La clinique mobile va sillonner toutes les 108 localités de Ngazidja, en vue d’effectuer des consultations des femmes enceintes, de l’échographie, des services prénatals, entre autres. « La clinique mobile intervient dans les besoins non satisfaits de la planification familiale, la mise à terme de la mortalité évitable et met fin aux violences basées sur le genre et aux pratiques néfastes. La clinique mobile sera équipée par un médecin et deux sages-femmes. C’est un projet du ministère de la santé. En principe, les services médicaux peuvent être gratuits pour faciliter la vie quotidienne. Mais, en cas de contribution financière, les coûts seront à la baisse », a annoncé Mamadaou Boina Maecha, Assistant Représentant de l’Unfpa.

Le directeur général de Telma, Christophe Olivier, précise que son implication dans cette démarche (de la clinique mobile) est due au fait que la société est au service de la population. «Telma est au service de la population. La clinique mobile est un système d’accompagnement à la population, notamment sur la santé mère-enfant. Le financement de ce véhicule (qui a coûté très cher) est une manière de s’approcher aux citoyens, en cas de nécessité. Il y aura un système d’envoi de SMS au public pour annoncer le lieu et la date de travail », a-t-il dit.

Abdoulandhum Ahamada

La prévention et le dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus sont au cœur d’une intervention à la radio et télévision de Ndzuani. Hier, la DRPG et l’association Accf avaient pendant 50 min intervenu sur le thème de ce que les acteurs appellent « octobre rose ».

Le dépistage du cancer se fait à 50.000 kmf en temps normal. Pendant le mois d’octobre, il est à 25 000 kmf pour celui du sein. Celui du col de l’utérus à 10 000 kmf. Et seulement, chez le docteur Kader à Mutsamudu qui a les machines nécessaires. La directrice régionale de la promotion du genre, Sittina’Echat Salim explique que « nous avons parlé de la sensibilisation. Nous savons que c’est un mois de prévention et de discussion sur les cancers du sein et du col de l’utérus. Notre direction travaille avec les associations pour sensibiliser aussi sur les cancers ». Seulement 4 % des cas de cancer du sein touche les hommes.

Partout dans le monde, ce mois est choisi pour la prévention des cancers qui touchent particulièrement les femmes. Selon Fatima Halidani, sage-femme et coordinatrice de l’association ACCF, la vie doit être rose dans la vie des femmes. « C’est un mois spécial » pour celle qui est aussi née au mois d’octobre. « Le cancer touche les hommes et les femmes. Celui du sein et du col de l’utérus. Le cancer peut-être héréditaire dans la famille, causé par l’alcool, l’obésité ou le manque de sport pour le cas du cancer du sein. Pour celui de l’utérus, il y a une bactérie dans le col de l’utérus. Il se transmet par des rapports sexuels. À partir de là, il peut être transmis par l’homme », précise-t-elle. « Tous les deux ans, nous devons faire la monographie », déclare-t-elle. Gonflement ou changement de couleur au niveau du sein, du sang ou un liquide sont parmi les signes des deux cancers qui peuvent toucher les femmes.

Ahmed Zaidou