Le club des supporters des Gombessa ont réalisé l’ouverture des adhésions des membres le 01 août 2021 à Sarcelles en région parisienne, dans une ambiance festive. Depuis les adhésions se poursuivent. Aujourd’hui le 10 août 2021 notre club de supporters des Gombessa composée de son secrétaire général Mr ZEainoudine Moilime Moussa de son trésorier Mr Barake Said Mzé, de son chargé de communication Mr Ibrahim Ali Abdallah se sont réunis autour du président de la fédération de football du cœlacanthes Mr Said Ali Said Attoumani afin de discuter d’un éventuel partenariat afin de pouvoir soutenir notre équipe nationale dans différents domaines et surtout les accompagner dans la victoire
.Nous vous rappelons que les adhésions restent ouvertes sur Moroni et vous pouvez contacter notre équipe et surtout le secrétaire général : Mr Zainoudine Moilim Moussa pour adhérer à votre équipe des Gombessa.
La phase nationale du Hand Ball se poursuit. La première phase a pris fin et place aux demi-finales qui vont se disputer entre huit clubs. Quatre clubs de Ndzuani et quatre clubs de Ngazidja. Les quatre clubs de Mwali sont éliminés.
Les matchs ont débuté vendredi dernier. Les phases de poules ont eu lieu sans contrainte, et les 8 clubs en demi-finales sont connus dont 4 pour les femmes et 4 pour les hommes. Ce sont tous des clubs de Ngazidja et Ndzuani. « La compétition va bon train. Ce lundi matin, c’est la fin des phases de poules. Il n’y a pas eu d’incident, l’ambiance y était pour les joueurs mais aussi pour les supporters des clubs. Pour les demis finales Kazampassani contre Djakass, un match féminin 100% anjouanais et Rafale contre Liberté, un match 100% grand-comorien pour les femmes. Kazampassani contre Rafale et Uhuru contre Liberté, pour les hommes », explique-t-on.
En effet, Lyth Bacar Kassim a souligné « depuis le 28 juin, nous devions commencer la phase nationale. Pour des soucis au niveau du gouvernement, il y a eu une note de suspension de la phase nationale. Quand tout était réglé, je n’ai pas eu de place dans l’avion mais aujourd’hui, lundi, je suis là ». Selon le président de la fédération du Hand Balla, c’est un jeu et que le meilleur gagne. « Les premiers sont attendus à l’île de la Réunion en novembre, les clubs doivent prendre leurs responsabilités, au niveau de la sécurité, il y a aussi la gendarmerie qui veille au bon déroulement des matchs », précise-t-il.
Ce dimanche, a eu lieu les deux finales de la coupe de la ligue de Basket Ball de Ndzuani, féminine et masculine. Des matchs qui se jouaient respectivement le 15 juillet et le 25 juillet à Ouani. L’avenir de la discipline reste incertain à Anjouan.
Des incompréhensions au niveau des membres de la fédération à Anjouan sur le déroulement du match. « Farid Abodo doit assumer sa décision de maintenir le match à Ouani. Nous sommes 3 membres de la fédération à Anjouan et la décision de changer le match qui devrait être ce dimanche, devait être pris 48 heures avant » dixit Saidali Bacar alias Astuce, membre de la fédération de basket Ball avant d’insister que « je ne cautionne pas cette décision de jouer le match entre Usoni et Ushindzi à Ouani ».
« Quand nous avons appris la nouvelle sur l’anneau, nous sommes partis préparer 1h avant les matchs. C’est après qu’ils ont décidé que les matchs se poursuivront sur le plateau de Ouani. Or, pour une telle procédure les 2 équipes devraient être notifiées 48h avant selon le règlement international du FIBA », a fait savoir l’équipe Usoni avant de pointer du doigt l’équipe adverse et la ligue régionale de basket Ball: « ils ont remis le trophée à leur équipe Ushindzi tout en sachant que le secrétaire de la ligue est également le président de cette équipe mais aussi le président des arbitres régionaux. Il est aussi un joueur de cette même équipe », se plaignent-ils.
« Le match était maintenu aujourd’hui comme prévu au stade de Missiri, mais à 14 heures, Farid Abodo a pris la décision de changer le match au stade de Ouani après avoir constaté un défaut de l’anneau. La fédération avait pris l’initiative de décaler de 48 heures le match masculin et le maintenir au stade de Missiri. Il est vrai que le règlement stipule, 48 heures avant de déloger un match vers un nouveau terrain. Et la ligue et la fédération ont bafoué cette loi en jouant le match féminin. Si c’est une erreur ou un défaut, c’est pour la fédération », ont-ils souligné.
Se référant à la note de la ligue régionale de Ndzuani N° 004 du 14 juillet 2021, il est inscrit que la ligue informe toutes les équipes féminines de basket que deux rencontres sont prévues pour déterminer le vainqueur de la coupe de la ligue. Le premier, le match est prévu le 15 juillet 2021 au stade Caso de Ouani à 15 heures. Le deuxième match est prévu le 25 juillet 2021 au stade de Missiri, le jour de la finale seigneur qui opposera deux grands clubs d’Anjouan.
Entre tension et contre-attaque, le match retour a eu lieu au stade Caso de Ouani. « Le match aller était de 67 à 40 en faveur de Watukuf. Le match retour est de 48 à 60 en faveur de Faigaffe. Donc Watukuf est sacré champion de la coupe de la ligue de basket de Ndzouani », a déclaré à nos soins la commission des arbitres.
La « colère » s’est fait sentir au stade de Missiri et des supporters déçus. « Nous sommes venus voir un match et des incompréhensions sont-là », dit-on. Au stade Caso de Ouani, une ambiance « chaleureuse » y était. Les équipes de Mutsamudu signeraient une pétition contre la ligue de basket de Ndzuani.
Des nombreuses interrogations se posent sur l’avenir de la discipline de basket Ball à Anjouan. « Les deux équipes rivales depuis quelques années ont encore remis le couteau dans la plaie. Et la fédération et la ligue, aucune n’a respecté la loi du basket Ball. Cela devient la loi de la jungle dans une discipline déjà en ruine depuis quelques années », a lâché un entraîneur. A savoir que la remise des trophées s’est fait en présence de la ligue régionale de basket Ball et des deux membres de la fédération (Djamou Houcoume et Farid Abodo).
Lors d’une conférence de presse, l’équipe Ngazi Sport de Mirontsy s’est félicitée pour le championnat et a félicité les supporters, les dirigeants mais en grande partie les joueurs. Pour le coach de l’équipe, Djaanfar Salim Allaoui, c’était l’heure du bilan de ces 5 derniers années et exposer les coupes et trophées.
« Arriver au sommet du football Anjouanais ce n’est pas tout », a lancé Djaanfar Salim Allaoui, coach de Ngazi Sport de Mirontsy avant d’ajouter « j’ai vraiment envie de réaliser un record, celui d’embraser le maximum de points. Déjà nos 36 points, c’est un record à Anjouan. De tout le temps et de tous les champions que nous avons connus à Anjouan, aucune équipe n’est prévenue à ce niveau sportif. A deux journées de la fin du championnat, je caresse un grand objectif qui est celui d’atteindre 42 points ».
Cet ancien footballeur, se décrit comme amoureux du ballon rond annonce ses perspectives à atteindre pour sa satisfaction personnelle. « 42 points, avant la fin des deux journées, cela me permettrait d’entrer dans l’histoire et en même temps ça serait un très bel hommage à l’équipe et au football. Ce que je n’ai pas réussi à réaliser pendant ma carrière, si j’arrive à le faire en tant que technicien de banc de touche franchement, c’est chapeau », a-t-il exprimé.
En ce qui concerne le déroulement du championnat 2020-2021, le coach de Ngazi sport a retenu un enseignement d’âge. « Au niveau de la phase-aller, nous l’avons bouclé en première position. Cela veux dire, nous avons concédé, nous étions très appliqués, très sérieux. Nous étions au bout du tout, nous avons joué à fond, et tout en respectant les adversaires, à 36 points avant la fin de deux journées du championnat », dit-il. Deux objectifs fixés à atteindre cette année 2021, notamment atteindre un maximum de points et faire face à la phase nationale. « Ça reste les deux objectifs à atteindre, et cela me fera beaucoup plaisir et puis on verra à l’international et à la nouvelle saison », conclut-il.
La reprise des matchs de la coupe de la ligue de Basketball à Ndzuani a débuté le 26 juin. Au plateau de basketball de Missiri et d’Ouani, a eu lieu, dimanche dernier, le match opposant Ushindzi d’Ouani et Tornade de Mutsamudu sur un score de 54 à 47 en faveur d’Ushindzi dans un stade sans turbine pour les spectateurs.
« Nous avons assisté à un superbe match de Basketball comme nous avions l’habitude avant l’arrivée du coronavirus. Il y a eu une ambiance de fou que ça soit les joueurs sur le terrain ou les supporters sur place », s’exprime Houzam Elhabib, basketteur de l’UMM. « Le match s’est joué dans un plateau sans turbine pour les spectateurs. Nous étions éparpillés partout dans le plateau, mal positionnés et malgré tout cela, nous avons soutenu nos deux équipes jusqu’à la fin ».
Deux équipes d’Ouani et une équipe de Mutsamudu en demi final triangulaire, selon Assiand Soumaila joueur d’Ushindzi et président de la commission des arbitres de Ndzuani. « Un tirage au sort entre dix équipes, cinq sélectionnés, Altess en demi-finale direct, les quatre équipes se sont affrontées Ushindzi 54 contre Tornade 47 et Usoni 78 contre Djadid 44. Les deux demi-finales seront en triangulaire entre Ushindzi et Altess, et l’équipe perdante jouera contre Usoni ce samedi 10 juillet au stade de Missiri », explique-t-il. « Les deux finalistes vont participer automatiquement à la coupe de la fédération », ajoute-t-il.
Le stade de Missiri comprenant le gymnase et deux plateaux de basketball, ces derniers sont en chantier et sans évolution selon, un joueur. « Ce terrain était la vitrine du basket Anjouanais, le comité de gestion n’assure pas les travaux. Ils déclarent que le budget du stade est fini », a dit ce joueur.
Malgré la performance des Cœlacanthes, la Tunisie revient à bout au stade du Caire en Egypte. La rencontre disputée sur un rythme endiablé a vu la Tunisie s’imposer face aux cœlacanthes (1-0). Une défaite qui marque la fin de l’aventure des cœlacanthes pour sa participation à la compétition Arab Cup de 2021.
Les hommes d’Ahamada Djambaé ne seront plus au rendez-vous dans les demi-finales. Les Comores ont opposé une résistance admirable, au stade du Caire face à la Tunisie en quarts de finale, en marge de la Cup arab U20. Les cœlacanthes, menés, ont pourtant gardé le calme et maintenu une possession de balle qui frôlait l’espoir d’une éventuelle égalisation, en vain. Très vite, dès la première période, les Cœlacanthes mettent la pression sur les tunisiens qui peinent à se dégager du pressing des verts et les corners qui se multipliaient en faveur des hommes de Djambaé sans jamais trouver la faille du gardien tunisien.
Malgré la pression des Cœlacanthes, l’attaquant tunisien surgit et place une tête plongeante qui passe juste au côté adverse où s’est pointé le gardien des Cœlacanthes. Les verts se sont vus écartés de la compétition à la 58ème minute. Les hommes d’Ahmada Djambae ont couru derrière ce score avec la détermination de marquer un but à fin de finir au moins à égalité, mais le défenseur tunisiens, très avisé, s’est montré plus vigilent face à cette pression des cœlacanthes jusqu’à la fin du duel par le sifflet final.
Au terme d’un gros combat de 93 minutes contre les Cœlacanthes admirables, la Tunisie se hisse en demi final pour poursuivre sa belle aventure dans cette édition de 2021 de l’Arab Cup U20.
En marge de l’Arab Cup, les Comores sont éliminées en match de barrage par la Palestine (1-5). Les joueurs ont été convoqués, dit-on, à la volée pour pallier à l’absence des joueurs habituels des Cœlacanthes. Choqués, les joueurs de l’équipe nationale sortent du silence et appelle la Ffc à un dialogue inclusif.
Bien que des jeunes comoriens aient représenté les Comores sur l’Arab Cup, les joueurs habituels des Cœlacanthes montent au créneau et expriment leur colère. Puisque, réagissent-ils, à travers un communiqué signé par plusieurs joueurs clés de l’équipe nationale, « avant ce match, un communiqué de notre fédération annonçait que nous ne pouvions pas répondre présents à la convocation de ce match de barrage contre les palestiniens car nos clubs ne voulaient pas nous libérer. C’est faux pour la grande majorité d’entre nous ! » Les signataires du communiqué ont avancé que « quelques semaines auparavant, alors que nous nous attendions à être convoqués pour les matches amicaux du mois de juin, nous apprenons par différents canaux de presse et sur les réseaux sociaux, qu’il n’y aurait pas de rassemblement ».
Quel gâchis ! Les hommes d’Amir Abdou sont en colère. « Nous sommes en colère car il n’est plus possible d’accepter le fatalisme à l’africaine et continuer à subir les événements au lieu de les anticiper. Nous sommes en colère d’avoir été privés du rassemblement du mois de juin pendant que nos futurs adversaires commençaient leur préparation. Nous sommes e colère car il est inadmissible et irresponsable de convoquer des joueurs à quelques jours seulement d’un match international comme celui contre la Palestine. C’est une mise en danger et un manque de respect à l’égard des jours. Nous sommes en colère car la fédération ne nous met pas dans les meilleures conditions pour préparer la phase finale de la Can durement acquise », se plaignent-ils.
La journée olympique est aussi célébrée à Anjouan malgré les circonstances. Arrivé à Anjouan, Ahmed Chahalane, vice-président du Cosic avec l’équipe en place a célébré la JO sous le thème « bouger, apprendre et découvrir ». 350 élèves et athlètes ont participé aux différentes manifestations au lycée de Mutsamudu ce dimanche 27.
Sous le thème « bouger, apprendre et découvrir » les trois cents élèves ayant participé à la célébration ont entendu le message de Thomas Bach, Président du Comité International Olympique (CIO) l’occasion de la journée. « Chers amis, en cette année olympique extraordinaire, célébrer la Journée olympique est encore plus spéciale que d’habitude. Aujourd’hui, nous célébrons bien sûr la joie du sport et nous nous souvenons de la création du Mouvement olympique moderne, par notre fondateur Pierre de Coubertin. Mais en cette Journée olympique, alors que le monde entier fait face depuis bien trop longtemps aux mêmes luttes et aux mêmes craintes à cause de la pandémie mondiale, le pouvoir du sport d’amener espoir et optimisme est encore plus significatif. Lorsque les athlètes de toute la planète et de l’équipe olympique des réfugiés du CIO se rassembleront enfin le 23 juillet pour les Jeux Olympiques reportés (Tokyo 2020), ils enverront un message fort au monde : un puissant message de paix, de solidarité et de résilience. C’est le même message que nous célébrons tous aujourd’hui, à la Journée olympique. Les Jeux Olympiques illustreront la leçon que nous avons tous tirée de la crise du coronavirus : nous avons besoin de plus de solidarité. Plus de solidarité au sein des sociétés et plus de solidarité entre les sociétés. Solidarité, espoir et optimisme – voilà le pouvoir du sport. C’est pourquoi, en cette Journée olympique, unissons-nous pour célébrer ce précieux esprit olympique » a indiqué T. Bach pour la JO.
Après le message du président du CIO, les jeunes élèves ont explosé de joie en quelques heures de rencontre dans un vent d’ambiance. La course olympique a eu lieu avant la découverte de deux nouvelles disciplines, Badminton et cascades de vélos. Les mesures restrictives de lutte contre le coronavirus sont respectées à la lettre après avoir effectué les tests rapides et les ports de masque obligatoire, lavage de mains et prise de température à l’aide de thermo flash avant d’accéder au lycée. « Nous avons tenu la célébration de la journée au sein du lycée pour la sécurité des jeunes élèves de moins de 18 ans » souligne Mouhtar Mazarin, membre organisateur de la journée et enseignant d’EPS (Education Physique et Sportive).
Pour Ahmed Chahalane, vice-président du COSIC, il a tenu à remercier « tous ceux et toutes celles qui ont contribué de près ou de loin pour la tenue de la journée dans l’ile » et ajoute que «l’implication de la Mairie et du proviseur du lycée qui a donné accès libre aux enfants pour l’événement».
Tenir cet événement au lycée de Mutsamudu est une réussite pour tous. Le proviseur du lycée Elaris Mohamed n’a pas caché sa satisfaction. «Très content de pouvoir recevoir et accueillir nos enfants, je suis très satisfait pour cette fraternité, solidarité et partage», s’exclame le proviseur
En un mot, la réaction des élèves est identique. « Coronavirus ne nous a pas donné cette noble occasion depuis presque 2 ans, très éducative cette journée », lâchent plusieurs élèves en langue nationale. L’ambiance assurée par là trouve de danses traditionnelles assurée par la troupe « Woitwani Shigoma » et les démonstrations des cascadeurs en vélos ont plus qu’animer la fête. En fin, tous les participants sont rentrés avec des certificats.
Samedi dernier, une cérémonie de signature de partenariat a eu lieu, à Moroni, entre la Ffc et l’Uccia. Cette convention de quatre ans a pour but de tisser et renforcer un lien direct entre le monde du sport et celui de l’entreprise afin de rendre le football comorien compétitif et autosuffisant.
La nouvelle stratégie de marketing de la Ffc ne cesse de s’étaler. Une convention de partenariat a été signée samedi dernier, à Moroni, entre l’union des chambres des commerces, d’industrie et de l’agriculture avec la fédération du football des Comores. « La Ffc souhaite développer son image et sa marque à travers une relation privilégiée avec des grandes entreprises, une visibilité accrue et des objectifs partagés. En s’engageant au côté de l’Uccia, l’institution faitière du football souhaite introduire dans les clubs la culture marketing en leur garantissant des revenus concrets pour faire face à leurs charges. En contre partie, elle met la visibilité offerte au football et aux équipes nationales au profit d’entreprises, marques, et enseignes contribuant ainsi à améliorer leur performance économique et leur croissance », lit-on dans le communiqué de presse.
Selon le secrétaire général de la Ffc, Stéphane Aboutoihi, il s’agit d’une opportunité visant à tisser et de renforcer un lien direct entre le monde du sport et celui de l’entreprise afin de rendre le football comorien globalement plus compétitif et autosuffisant. Quant au président de l’Uccia, Chamsoudine Ahmed, « cette convention témoigne une fraternité de longue date entre nous, les présidents de ces deux instituions, mais aussi le poids économique que porte la Ffc pour les entreprises le jour du match des cœlacanthes, aux Comores », indique-t-il.
« L’Uccia fédère les membres du secteur privé du pays et s’y engage à offrir au monde du football des opportunités concrètes de sponsoring. Elle vise aussi à apporter un soutien financier indirect à la Ffc et aux clubs affiliés, en pratiquant des remises pour chaque produit ou service par les membres de son réseau : transport, restauration, hôtellerie, agence de voyage, entre autres », précise le communiqué.
Le président du comité olympique sportif des iles Comores (Cosic), Ibrahim Mzé a annoncé hier jeudi lors d’une conférence de presse, à Moroni, la célébration de la journée internationale olympique le 27 juin prochain. Le teste Pcr est exigé le samedi. 8 fédérations retenues pour participer aux différentes activités.
Initialement, la journée internationale olympique se fait le 23 juin à l’échelle internationale. Mais le comité olympique sportif des iles Comores (Cosic) a décidé d’avancer cette date jusqu’au 27 juin, en raison que ce jour sera un dimanche, C’est le stade omnisports de Maluzini où se déroulera l’évènement. « Nous avons décidé d’avancer cette journée au 27 juin, car le 23 juin sera une journée ouvrable alors que tout le monde puisse prendre part aux activités sportives. Et il est important de rappeler que le teste Pcr est exigé pour tous les participants », a annoncé Ibrahim Mzé président du Cosic. Le stade Maluzini répond aux besoins des activités retenues.
Alors que les Comores comptent 18 fédérations de disciplines sportives confondues, le Cosic a retenu seulement 8 fédérations. « Toutes les fédérations seront là, mais on ne peut pas retenir toutes les fédérations dans les jeux. Nous avons sélectionné les disciplines en tenant compte du lieu. Il s’agit du box, la pétanque, le foot, judo, le karaté, le tennis de table, entre autres », a précisé le président du Cosic. En dehors des jeux prévus au stade de Mlouzini, une course à pied et à velot est prévue à Moroni le matin avant de retourner au stade. Les activités auront lieux le dimanche 27 à Ngazidja pendant qu’à Anjouan et à Moheli, leur programmation est pour les semaines prochaines.