ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Musique : « Msahazi », le nouvel Album de Rdjb

Musique : « Msahazi », le nouvel Album de Rdjb

Étoile brillante du « Msafarini Music », le rap des villages, Rdjb vient de sortir son nouvel album « Msahazi ». Composé de 20 tubes, le nouvel album est perçu comme une capsule temporelle, intacte d’une époque révolue où l’on veut faire émerger le rap comorien sur la scène internationale.

Le nouvel album, « Msahazi » a rapidement donné un goût passionnant. Rdjab Mvoulana dans le civil, alias Rdjb dans « Msafarini Music », le rap des oubliés des villages, a sorti son nouvel album sur Audiomack avec 20 tubes qui piquent.

Depuis les années 2000, le rap aux Comores a initialement pris ses racines dans les centres urbains, porté par une élite chantant en français. Avec le temps, les rappeurs ont intégré la langue comorienne dans leurs répertoires, mais le flow et le style restaient très influencé par le rap français.

Rdjb, celui qui depuis 8 ans jouait avec son orchestre Houb El-watwan, se force de jour le jour pour changer la donne. « Msahazi » l’album dans sa liberté de ton, est une capsule temporelle quasiment intact d’une époque révolue où l’on veut révolutionner le rap comorien sur la scène internationale. Le morceau à écouter d’urgence, « Maman ».

Trois minutes hallucinantes de Freestyle, suffisent de mieux comprendre la particularité de l’amour inconditionnel d’une mère envers son fils, même si celui-ci, est associé à des malfaiteurs. Sur ce, Rdjb exploite son goût pour les jeux des mots afin d’exprimer l’attachement incomparable de la mère à son enfant.  

Rdjb a construit petit à petit depuis son enfance, les bases de son rap survolté. Ces dernières années, celui que les jeunes du quartier devraient d’abord supplier, sa grand-mère pour qu’elle leur donne l’autorisation de toucher le ballon de son petit-fils, Rdjb, est devenu l’icône du rap « Msafarini Music ».

Il a permis à de nombreux artistes d’émerger et il continue d’influencer les jeunes rappeurs. Son influence ne se limite pas uniquement par ses critères pécuniaires ou le nombre de vues sur Youtube, la percée de son fils, Rayad, le tout jeune du rap français gagnant du Music Awards de la catégorie masculine résume tout.   

Nassuf. M. Abdou

Avec « Où est le bonheur », une chanson interprétée lors de la première manche de la troisième édition de l’émission Nyora, Mkaliman a su relever le défi en se qualifiant en finale. Le 18 octobre prochain, à Marseille, le jeune artiste compte séduire le jury pour qu’il soit l’étoile de la musique comorienne de l’année 2023 après Fahid le bled’art et Kueena.

« En soi, j’ai une confiance de faire la différence, mon équipe qui m’accompagne et qui veut me marquer dans le monde musical croit aussi à ma prestation. Le succès d’un artiste réside dans une stratégie astucieuse pour attirer l’attention des auditeurs, je crois pouvoir être capable de donner une raison à mon public et conquérir encore une fois  les cœurs du  jury  lors de la finale à Marseille », a déclaré Mkaliman.

Passionné de la musique depuis son bas-âge, l’artiste Mkaliman s’est accroché à la troisième place sur les trois finalistes avec seulement 5,05/10 du public, et, en dépit des prestations éblouissantes de ses deux concurrentes, ce fils d’un guitariste promet d’exploser le compteur devant les projecteurs sur scène à Marseille. « J’ai une énorme surprise pour éveiller le public, mais je préfère la garder jusqu’au grand rendez-vous », promet-il.

L’un des trois meilleurs finalistes de cette 3eme édition, Mkaliman a salué l’accompagnement indéfectible que des figures de la musique comorienne lui apportent, notamment le célèbre artiste Maleesh, Lee-Nocent et le groupe Guiri Family. « Chaque jour, je me prépare pour m’adapter de plus en plus aux performances des artistes comoriens : Lee-Nossent, Malessh et le groupe Guiri Family. J’admire trop toutes les critiques constructives, car cela me permet chaque jour de faire un pas en avant », a-t-il indiqué.

Mkaliman s’est dit rassuré quant à l’honnêteté des jurys et aux efforts de l’agence Tartib engagée à donner l’opportunité aux jeunes artistes comoriens de briller sur la scène internationale. 

Nassuf.M.Abdou

En marge de la 7eme édition du festival international de slam-poésie, qui se tient du 1er au 15 octobre, en Acadi Macton au Canada, les Comores sont représentées par le jeune slameur Rahim Elhad. Celui qui se nomme, le parolier du Karthala, sa prestation est attendue dimanche prochain et il compte conquérir les cœurs du monde de slam.

Depuis dimanche 1er octobre, les yeux du monde passionné de slam sont braqués vers le Canada, dans le cadre de la 7ème édition du festival international de slam-poésie. Étant une étoile qui brille à mille feux, les Comores verront leur drapeau représenté par le jeune slameur, Rahim Elhad. Contraint à s’abstenir du calendrier au programme du festival en raison de sa santé peu affaiblie, l’étoile montante de la poésie portera haut le drapeau comorien pour prouver son rare talent, dimanche prochain.

Joint au téléphone, le parolier du Karthala se veut rassurant en dépit de sa santé. « Je suis arrivé un peu malade, cela m’a obligé de décaler mon programme qui devait accompagner les autres, dimanche dernier. Mais c’est peut-être une opportunité pour moi d’observer les autres talents, et je vais la saisir pour m’inspirer sur trois spectacles impressionnants en espérant conquérir les cœurs des jurys internationaux », laisse entendre au téléphone, le parolier du Karthala.

Il s’agit de la septième édition du Festival international de slam-poésie (FISPA), réunissant des poètes et slameurs aux compétences reconnues et issus de toute la francophonie en Amérique, Afrique ou Europe. Le natif de Mbeni est choisi pour l’originalité de ses textes, les thématiques qu’il aborde se   sont souvent celles qui retracent les valeurs de l’identité culturelle et traditionnelle du pays.

C’est ce qui lui a valu de plus avec ses performances d’être choisi étant le candidat idéal à représenter le pays sur la scène internationale.  Avec déjà plusieurs spectacles de slam à son actif, « Bangwe Slam » est celui qui occupe surtout une place dans les mémoires des Smartphones des passionnés de slam et la poésie.  Le slameur met en lumière les valeurs de son pays, la vie quotidienne des comoriens à travers leurs identités traditionnelles ainsi qu’il explique  l’utilité   qu’occupent  les places publiques traditionnelles comoriennes.

Nassuf. M. Abdou

Après un mois d’échanges en expérience des jeunes artistes comoriens. Les jurys sont passés au crible et les trois finalistes s’envoleront en France, à Marseille où aura lieu le grand challenge de la grande finale. Il s’agit de Salam, Keila et Mkalimani, le troisième qui a montré au public lors du podium, qu’il a sa place dans l’excellent trio. 

Les trois finalistes ont par leur ingénieux talent conquis les cœurs des jurys obtenant des notes impressionnantes. Leur talent ne fait aucun doute pour les uns et les autres et sauront avec l’art présenter la musique comorienne à Marseille.  Parlant d’abord de Salma, « la force tranquille » ses notes qu’elle a obtenues défient toutes les critiques avec 10/10 et 9,8/10. La star du moment pour l’émission Nyora aura les mots sans forcer pour faire preuve devant les caméras à Marseille.

S’agissant du Keila, elle a été propulsée par le public en finale en dépit de sa note modeste de 1,8/10. Mais, grâce à une évolution élogieuse de 9,42 /10 attribuée par un jury conquis, la jeune fille de 24 ans à la voix éblouissante a réussi à convaincre les trois jurys composés de Soulayman Mze, Cheikh, Cheikh Mc et Samra.  Elle s’est dite prête à briller sur la scène internationale pour justifier sa méritocratie.

Bénéficiaire d’une évolution jugée équilibrée par les jurys, Mkalimani a obtenu 5,05/10 et 5,92/10 c’est qui lui a valu de franchir les paliers pour intégrer l’excellent trio. Ce dernier tout au long de l’émission a montré au public un talent solide et évolutif.

Par ici, l’on peut dire que l’agence Tartib a pris d’autres dispositions impressionnantes et des surprises pour donner plus de qualité à l’émission Nyora à travers le monde, donnant l’occasion aux jeunes attristes comoriens de vulgariser leur talent à travers le monde.

Il y a lieu de rappeler que, l’agence Tartib en partenariat avec Comores télécom ont choisi Marseille, la deuxième agglomération de France abritant une forte communauté comorienne où les finalistes auront l’opportunité de briller et de porter les couleurs de leur musique. 

Nassuf. M. Abdou

Deux comoriens ont remporté ces grands prix dédiés aux jeunes africains sur le prix Wentian et le prix Mengtian, mercredi dernier par l’ambassade de Chine à Moroni. Lors de la cérémonie de remise du trophée, Bassam Ben Fatihoudine, un des lauréats a manifesté sa joie d’avoir remporté ce trophée.

Il s’agit d’un moment très important et émouvant dans la vie du lauréat du prix Wentian pour Bassam Ben Fatihoudine. « Ça m’a  donné le sourire et ça m’a donné l’envie de dessiner pour continuer mon rêve », a manifesté Bassam Ben Fatihoudine, quelques instants après la remise du trophée. Ce jeune talentueux comorien s’est réjoui du soutien indéfectible de ses parents, amis et enseignants  qui «l’ont encouragés et qui l’ont donnés les conseils.

Un événement pas comme les autres. Pour ce deuxième prix, près de deux milles tableaux d’artistes sont issus d’une trentaine de jeunes africains. En cette cérémonie de remise, Hu Bing, chargé d’affaires à l’ambassade de Chine se dit très enthousiaste car c’est la première fois que « nous avons vu autant de peintures des jeunes africains exposées sur notre station spatiale », dixit le chargé d’affaires à l’ambassade de Chine à Moroni.

A l’en croire, l’Afrique est l’avenir de l’humanité. « La Chine et les pays africains forment alors une même famille », a-t-il déclaré.

En mémoire, les jeunes africains expriment depuis longtemps leur vif intérêt pour l’espace et leur désir de « voler dans l’espace » un jour. La partie chinoise est disposée à contribuer à la réalisation de ce « rêve africain ».

Depuis le 1er mars, le secrétariat du comité de suivi du forum sur la coopération sino-africaine et le bureau d’ingénierie des vols spatiaux habités de Chine organisent conjointement un concours de peinture sur le thème «mon rêve». Le concours est donc ouvert à plusieurs pays africains y compris les Comores.

Kamal Said Abdou

La troisième édition de l’émission Nyora a regroupé 12 candidats. Après les prestations des chansons en langue locale et étrangère, 6 candidats sont retenus pour la demi-finale après les notes du jury et du public. Il s’agit de Mkalimani avec 8,20/10, de Keila qui a obtenu 7,79/10, de Salam recueillant 7,24/10, de Rebella avec 6,36, de Maïssa et de Rachda qui ont décroché 5,95 et 5,91/10.

Les résultats des candidats admis en demi-finale du concours Nyora de la saison 3 sont déjà connus. Après les prestations publiques, le jury a procédé à la délibération. Six meilleures voix ont été retenues et vont s’affronter en demi-finale.

Mais, avant d’annoncer les résultats, les membres du jury se sont prêtés à la séance fatidique des critiques.

Selon eux, certains candidats méritent leurs chances d’évoluer dans le domaine de la musique vis-à-vis de leurs talents et leurs voix psalmodiques. « Dès la saison N°1 de ce concours Nyora, on constate que le pays possède des jeunes talentueux. Et cette année, les candidats ont montré de la potentialité. Nous avons du talent caché. Le relais est rassuré pour notre génération quant à ces futurs artistes comoriens », a encouragé l’artiste et membre du jury, Soulaimana Mzé Cheikh.

Les notes du jury et du public ont été accumulées pour classifier les 6 premières places des demi-finalistes. Sur 12 candidats au total, le candidat N°3, Mkalimani occupe la première place avec une note générale de 7,20/10 et (+1), la note du gagnant du mrengué. Keila prend la deuxième place avec une note de 6,79 et (+1), la note du gagnant du mrengué. Salam et Rebella occupent, respectivement, la 3e et la 4e place pour les notes de 7,24/10 et 5,36/10 et (+1), gagnant du mrengué. Quant à Maïssa et Rachda, elles sont classées 5e et 6e avec des notes générales de 4,94/10 et (+1), note du mrengué et 4,91/10 et (+1), note du mrengué. 

Abdoulandhum Ahamada

Le Cndrs organise du 18 au 21 septembre prochain, le premier festival des sciences et des arts aux Comores. Ce festival est avant tout une formidable opportunité de vivre quatre jours d’échanges scientifiques et culturels d’une grande richesse. Ce premier festival aura comme thème « la mer comme avenir de l’océan indien ». 

Si l’existence de ces points communs (sciences et arts), en termes de recherche et de créativité, fait l’objet d’une inspiration riche, chercheurs et artistes ont besoin d’en faire l’expérience avant d’y concéder et d’envisager un projet de co-création.

La dynamique, « sciences et arts » repose sur comment la mer peut servir des ressources potentielles pour un avenir meilleur.  

En effet, l’organisation du festival par le Cndrs en partenariat avec le Pnud, la commission de l’océan indien, l’agence universitaire de la francophonie, l’Union européenne, l’ambassade de France, entre autres, consiste, selon le directeur du Cndrs, à définir « la nature et les enjeux par la mer dans l’Océan indien et renforcer la coopération avec les partenaires régionaux et internationaux pour la conservation du patrimoine et la promotion de la recherche ».

La thématique propose des débats scientifiques, une animation culturelle et une projection de films documentaires et des expositions temporaires des œuvres de jeunes artistes et artisans comoriens. C’est pour l’avenir de la mer de l’océan indien.

Le festival des sciences et des arts est un espace où la pensée se déploie et où les arguments scientifiques s’éprouveront. Cette première édition interrogera sur la recherche et la conservation du patrimoine. 

Nayssate Ahmed Mouigni (stagiaire)

Un groupe d’artistes, de rappeurs, de Dj, lancent du 29 juillet au 23 août, la première édition du Dissa Festival, aux Comores. Devant la presse, mercredi dernier, les organisateurs de ce festival ont annoncé le déroulement des activités par des journées culturelles, des stages artistiques, des formations professionnelles, Open mic, Battle de danses, entre autres. Une manière, selon eux, de promouvoir le développement de la culture et les valeurs artistiques des Comores. 

Du 29 juillet au 23 août prochain, la première édition du Dissa Festival aura lieu à Moroni. Un événement inédit qui regroupe des artistes, des rappeurs, des Dj, des danseurs comoriens afin de promouvoir la culture et l’art comoriens. Les organisateurs de ce festival ont précisé l’importance d’un tel évènement, qui, selon eux, Dissa Festival est une vision pour l’enseignement des jeunes sur les disciplines de la danse, de la musique, du Dj, du rap, hip-hop.

L’idée principale, selon Tatiana Panzani, the Flow Lab, est de partager les valeurs de la musique, de danses, du rap, open mic, entre autres. « En vue de valoriser la culture comorienne et l’art, le Dissa Festival est un projet permettant aux jeunes, de comprendre les valeurs de la musique, de la danse, hip-hop, et autres. La culture est un levier de développement d’un pays. C’est transmettre la passion et partager l’expérience de ces disciplines chez les jeunes », a expliqué Tatiana Panzani.

Et Dj Loutfi Youssouf (DJ Quick) a présenté le programme du déroulement du Dissa Festival. « Au programme de ce festival, on aura des journées culturelles, stages artistiques, formations professionnelles, open mic, Battle de danse, et autres, répartis selon les quatre semaines d’activités. À cette occasion, on va expliquer le métier du Dj, le rôle de la danse, hip-hop,… à travers des ateliers et des formations professionnelles », a-t-dit. 

Abdoulandhum Ahamada

Situé au Nord de Ngazidja dans la région de Mitsamihuli, le village de Batsa Mitsamihuli bat des records nationaux en matière de tourisme. Le village est devenu, le principal choix des jeunes de la diaspora et, après la pandémie, la localité est devenue le village le plus visité aux Comores comme l’indique le rapport de l’association des jeunes artistes des Comores (organisateurs de l’usafari tour), une association spécialisé dans la promotion du tourisme.  

La localité a accueilli deux fois, l’usafari tour, deux fois, le camping Huru, le festival Panga et d’autres événements ainsi que les visites guidées et les touristes indépendants. Les derniers chiffres montrent qu’environ 3500 personnes ont visité le village entre juillet 2021 et juillet 2023.

« La localité cumule les atouts, tant naturels que culturels, susceptibles d’attirer les touristes de tous horizons, de la beauté paradisiaque de ses grottes et de ses cuvettes à la diversité de ses paysages, l’accueil chaleureux de ses habitants, sans oublier un patrimoine historique unique hérité de Korodazi », a expliqué Ela Abdoulkarim Soilihi, président de la plateforme.

Et d’ajouter, « depuis l’accueil incroyable de l’usafari tour 2021, tout le monde souhaite visité le village. C’est pourquoi la plateforme JAC veut  matérialiser cette richesse afin de développer l’économie dans la région. Plusieurs projets sont en gestation avec ses partenaires pour promouvoir le tourisme dans ce village. »

Malgré que jusqu’à aujourd’hui, les jeunes artistes comoriens n’aient pas communiqué une date de l’événement touristique « USAFARI » mais selon eux le projet est en étude.

« C’est un événement qui demande beaucoup d’énergies et du temps, on l’espère d’ici les prochains jours, vous donnez des directives pour l’édition 2023 », a annoncé le président.

Nassuf. M. Abdou

Samedi 1er juillet 2023, marque le lancement officiel de la 7e édition du Gombessa Festival Ikoni. Le but de ce festival est de promouvoir la culture comorienne. Plusieurs activités culturelles de danses et chants folkloriques comoriens ont animé la place « Parendraru » à Ikoni.

La ville d’Ikoni abrite depuis samedi 1er juillet 2023, la 7eedition du Gombessa Festival en présence de plusieurs acteurs de la culture comorienne et de la gouverneure de Ngazidja, Mhoudini Sitti Farouata. Un grand rendez-vous culturel réunissant plusieurs associations culturelles.

Dans son discours, Mohamed Ismaila, porte-parole de Beit-Salam, a rappelé que « chaque comorien doit conserver sa culture et ses patrimoines historiques ». Car selon lui, la culture différencie d’un pays à un autre. « Gombessa Festival veut faire la ville d’Ikoni, capitale culturelle et historique des Comores. Nous devons connaitre notre histoire, nos origines et notre culture.  Nous devons remercier  100 blagues (directeur artistique du Gombessa Festival) qui a initié ce festival à la portée de tous les comoriens. La culture est la base fondamentale d’un pays et chaque pays à sa propre culture », a souligné Mohamed Ismaila.

De même le directeur général de la société Comores Telecom, Saïd Ali Saïd Chayhane (sponsor officiel de cette 7e édition), a exprimé son attachement et son affection à cet événement. Le patron de Comores télécom n’a pas cessé de montrer la nécessité de la « mise en valeur de la culture et à l’histoire d’un pays », notamment les Comores.

« Tous les comoriens ont leurs parts de responsabilités en termes de protection et de valorisation des patrimoines culturels. Il faut oser dire que les Comores ont leur propre histoire et culture. On soutient l’organisation de cet événement du Gombessa Festival. Il faut protéger les traces de nos aïeuls », a-t-il dit.

Abdoulandhum Ahamada