L’énergie des pierres est fréquemment utilisée pour apaiser les émotions. Catherine Mayet et Nathaëlh Remy, co-auteures du Grand guide des pierres de soin au féminin, en ont sélectionné cinq pour que les émotions ne prennent pas le dessus au travail.
Une pierre de soin (ou pierre thérapeutique) est un minéral qui apporte un bien-être émotionnel ou énergétique. « On suppose que les minéraux qui la composent combleraient les carences infinitésimales en minéraux du corps humain via le contact de la pierre avec la peau » expliquent Catherine Mayet et Nathaëlh Remy, co-auteures du Grand guide des pierres de soin au féminin (Leduc. S Editions).
Les deux lithothérapeutes ont sélectionné 5 pierres de soin qui réduisent le stress au travail.
La rhodocrosite pour favoriser le travail en équipe
Au travail, les contacts sont souvent cassants et déshumanisés. Pour conserver des relations « humaines » au sein du groupe et faciliter le travail en équipe, la rhodocrosite sera utile. Cette pierre d’un rose plus ou moins soutenu régule l’émotivité pour mieux gérer les conflits, ouvre à la communication positive et assouplit lors des situations conflictuelles.
La tourmaline noire pour ne plus se sentir débordée
Cette cristallisation noire renforce la conscience et la tranquillité, et incite au calme avant toute prise de décision. Elle se glisse dans la poche et nous permet de retrouver notre réceptivité, évitant ainsi de nous sentir noyés dans un verre d’eau ! « La tourmaline noire réussirait à organiser l’emploi du temps d’un ministre, même l’ordre des priorités » affirment les deux lithothérapeutes.
L’œil-de-tigre pour atteindre ses objectifs
Cette pierre brune à noisette aux reflets chatoyants donne du courage et offre la possibilité de concrétiser les projets en passant à l’action. Au travail, porté en collier, en pendentif ou en bracelet, elle permet de maintenir et atteindre les objectifs que l’on s’est fixés.
La malachite pour éviter de se mettre en colère
Au travail, il arrive que la pression émotionnelle monte au point de faire exploser la cocotte-minute. Pour calmer la colère qui gronde et parvenir à vous maîtriser, gardez une malachite sous la main (dans une petite pochette au fond de votre sac à main par exemple) et portez cette pierre tout en camaïeu de verts dès que vous sentez que les émotions sont sur le point de déborder.
Le jade vert de chine pour reconnaître ses limites
Les journées n’ont que 24 heures, pourtant on culpabilise souvent de ne pas accomplir toutes les tâches inscrites sur notre to-do list. Au point qu’une étude récente a montré que 7 salariés sur 10 se dopent pour tenir le coup au boulot.
Porter un jade vert de Chine en bracelet ou en pendentif permet de reconnaître ses limites et de les accepter. Elle contribue aussi à dissiper la fatigue passagère.
7 salariés sur 10 se dopent pour aller travailler
Près de 70% des salariés prennent des substances psychotropes, légales ou illégales, pour tenir le coup dans le monde du travail.
Selon la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca), 20 sur les 29 millions d’actifs, en poste ou en recherche d’emploi en France, useraient et abuseraient des substances pychoactives (alcool, tabac, cannabis, somnifères, cocaïne…) pour « rester dans le match ». Or, bien souvent, les entreprises ne trouvent pas les mots pour évoquer ces questions et peu arrivent à mettre en place une prévention adéquate soulignent les chercheurs réunis en congrès pour réfléchir sur le thème « Liens entre le travail et les usages de psychotropes : si on en parlait ? ».
Des produit pour tenir, pour dormir ou pour récupérer
La France est à la fois l’un des pays à la meilleure productivité horaire dans le monde, et dans le même temps, l’un des plus gros consommateurs de médicaments psychotropes. « La question « Drogue et travail » ne se résume à l’alcool et aux drogues qui poseraient des problèmes. Les drogues, licites et illicites, sont aussi des moyens puissants au service la production, de la rentabilité et du silence sur les troubles de santé liés au travail. De plus en plus d’actifs ont une utilisation de différents produits, soit pour tenir, soit pour dormir ou récupérer, soit pour se construire une identité professionnelle » insiste Gladys Lutz, chercheure en psychologie du travail et présidente de l’association Addictologie et Travail (Additra), organisatrice du congrès. Elle décède après 159 heures supplémentaires en un mois. A l’occasion de ce congrès, les organisateurs lancent le hashtag se doper pour travailler afin que les salariés puissent prendre la parole sur leur recours au tabac, à l’alcool, aux médicaments ou aux drogues à des fins d’anesthésie physique ou mentale, ou de lâcher prise en lien avec le travail. »Il s’agit de donner la parole aux femmes, hommes, employés, dirigeants ou cadres, travailleurs libéraux, artisans ou agents de l’état et chômeurs de toutes les responsabilités et de tous les métiers. Il s’agit aussi de nous interroger : les médicaments psychotropes, l’alcool, le tabac ou lesdrogues illicites ont-ils une place dans notre quotidien pour calmer une ou des douleurs, se détendre, dormir, oublier, récupérer, tromper l’ennui, se stimuler, être mieux, se concentrer, tromper l’angoisse, calmer le stress ? »Plus d’infos sur le site du congrès de l’Additra.A lire aussi :Benzodiazépines : 60% des consommateurs sont des femmes Stress : un salarié sur deux malade du travail
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